Education d'une jeune soubrette
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
fffh,
fbi,
grossexe,
grosseins,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
La jeune Blanche est troublée. Quand elle a entendu du bruit dans le boudoir, elle a d’abord cru qu’un accident était arrivé, tant les cris de Madame étaient stridents. Heureusement, en s’approchant de la porte et en écoutant mieux, elle s’est vite rendu compte que ses cris aigus se répétaient, entremêlés de gémissements. Blanche entend aussi la voix d’un homme. Sa maîtresse n’est pas seule, elle plaque son oreille contre la porte. Elle entend mieux sa maîtresse gémir : — Oui, c’est bon, encore !— Madame apprécie-t-elle ?— Oui, vas-y, comme cela, suce-moi, lèche-moi, titille-moi le bouton !— Madame est tellement bonne !— Je suis chaude, je suis brûlante, je dégouline.— J’en ai la bouche tout inondée.— Oui, ta langue est si agile. Elle se glisse partout. Elle frétille tellement.— C’est Madame, qui me met dans cet état, aussi, avec ses idées lubriques.— Ça t’excite, n’est-ce pas ? Dis-moi que cela t’excite !— Maîtresse…— Moi aussi, ça m’excite. J’ai envie de sentir ton vît.— Madame ne préfère-t-elle pas que je continue à la sucer, en lui fourrant un doigt ?— Non, je veux te sentir maintenant au fond de mon con, je veux te sentir me labourer le tréfonds.— Les désirs de Madame sont des ordres. Que Madame se mette à quatre pattes, et je tâcherai de satisfaire Madame. Pendant un moment, Blanche n’entend plus rien. Elle a compris déjà que sa maîtresse se fait donner du plaisir. Elle s’en trouve elle-même excitée. Son jeune sexe commence à être moite. Elle brûle d’envie de savoir ...
... qui se trouve avec sa maîtresse, et de voir quel genre de plaisir ils se donnent. Une petite fenêtre ovale surplombe la porte. Elle hésite un moment. La chaise sera-t-elle assez haute ? Elle l’approche, relève ses jupes pour grimper sur la chaise. La chaise est un peu trop basse. Mais peut-être qu’en se hissant sur la pointe des pieds… ? Elle se tient d’une main au montant de la porte, en retenant de l’autre sa jupe. Elle se hisse le plus haut qu’elle peut, et arrive à jeter un regard dans la pièce. Elle avait bien deviné : c’est Jean, le valet, qui comble les désirs de sa maîtresse. Elle ne voit que le haut de son torse, déjà dénudé, alors qu’il se redresse. La fenêtre est trop haute. Elle redescend de la chaise, et se penche sur la serrure. Elle plaque son œil au trou, et découvre une autre partie du spectacle : sa maîtresse est à quatre pattes sur son lit, dépoitraillée, les jupes relevées sur ses hanches. Blanche admire sa croupe ferme, ses hanches encore fines ; ses gros seins, qui pendent entre ses bras, ont des gros bouts gonflés. Mme de Valençon se tourne vers son valet debout derrière elle. Blanche ne voit d’abord que son sexe, dressé entre ses mains. Elle n’a pas encore une longue expérience des sexes masculins, mais elle ne peut s’empêcher d’écarquiller les yeux. Elle n’en a encore jamais vu pénis aussi imposant. Parcouru de grosses veines et couronné d’un magnifique gland rose et luisant, il semble palpiter d’une vie propre. Le valet les caresse lentement, décalotte ...