1. Education d'une jeune soubrette


    Datte: 02/05/2018, Catégories: fffh, fbi, grossexe, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio,

    ... l’homme qui la prend, pour redevenir ensuite maître de la situation et décider du moment et de la manière dont elle le mènera à répandre sa semence. Quand la porte s’ouvre sur la jeune servante dépoitraillée, le bref sentiment de contrariété qu’elle éprouve de se voir interrompue en plein coït laisse vite la place à la curiosité. Elle se redresse puis s’assied sur le lit, laissant son valet à genoux, sa bite palpitante dressée dans le vide. Élodie pousse Blanche en avant, en lui tenant les poignets derrière le dos. Cette position confère à la poitrine de la jeune servante une arrogance encore augmentée. Décidément, elle ne s’est pas trompée sur sa sensuelle beauté lorsqu’elle l’a prise à son service. La jeune fille la regarde avec des yeux emplis de frayeur et de honte : elle appréhende la réprimande que ne va pas manquer de lui infliger sa maîtresse pour l’avoir épiée à travers la serrure. — Dis-moi, Élodie, peux-tu m’expliquer ce qui se passe ?— j’ai surpris Blanche en train de regarder par le trou de la serrure.— C’est vrai, Blanche ?— Oui, Madame, oui, c’est vrai.— En plus, elle avait relevé ses jupons, et se caressait le bouton.— Eh bien, ma petite, ne vous a-t-on donc jamais appris que c’était mal ?— Je… Madame… que madame me pardonne.— Suffis, mon enfant. Pas d’excuses ! Ce qui est très mal, ce n’est pas de nous avoir regardés. Ni même de vous être branlée… Mais d’avoir regardé par la serrure. Élodie, prends ce fichu, et attache-lui les poignets derrière le dos. Mais, ...
    ... auparavant, ôte-lui ses fripes ! Élodie est ravie d’obéir à sa maîtresse. Elle ôte la chemise de Blanche, non sans prendre soin de lui toucher au passage le bout des seins. Puis elle lui ôte ses jupes. La jeune servante est maintenant nue, gênée de son corps pourtant superbe. Elle se laisse attacher les poignets sans broncher. Sans la quitter des yeux, Madame de Valençon a pris la queue du valet, et la branle doucement pour lui maintenir sa vigueur. Elle remarque que Blanche ne peut détacher son regard de ce pénis arrogant. Il est si épais que sa main a peine à enserrer. À chaque mouvement de va-et-vient, elle décalotte le gland, rose et luisant de sa propre mouille. Mme de Valençon ordonne à Élodie de laisser Blanche seule à l’entrée de la pièce et de les rejoindre sur le lit. Ses bras noués derrière le dos, la jeune servante est superbe dans sa nudité sans défense. Ses seins énormes sont rendus encore plus arrogants par la cambrure de sa position. Timide, elle serre les cuisses, mais ne peut dissimuler sa jolie chatte gonflée couverte d’un fin duvet blond. Mme de Valençon écarte les cuisses et commence à se caresser le sexe. Elle prend plaisir à discerner chez la jeune fille le combat que se livrent la pudeur et l’intérêt. — Montre donc à notre jeune pucelle comment tu excelles à me sucer l’abricot dit-elle à Élodie, qui s’accroupit aussitôt entre ses cuisses. Regarde bien, Blanche, Élodie est passée experte dans cet exercice. Essaie d’en prendre de la graine, et ton avenir ...
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