1. Education d'une jeune soubrette


    Datte: 02/05/2018, Catégories: fffh, fbi, grossexe, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio,

    ... sous les caresses. Mme de Valençon se tourne vers elle, et son regard semble la jauger. Elle se penche vers le sexe de Jean, et commence à lécher le gros gland sans la quitter des yeux. Bientôt, elle parcourt la hampe du bout de sa langue, puis commence à sucer le sexe dressé. Il est si épais qu’elle a peine à l’enfourner. Blanche est maintenant très excitée. Ses tétons sont dressés, sa vulve dégouline. Elle voudrait se toucher, mais ses poignets attachés derrière son dos l’en empêchent. Elle presse ses cuisses l’une contre l’autre. Mme de Valençon enfonce le pénis de son valet jusqu’au fond de sa bouche, sans cesser de le branler. Elle manque s’étrangler. Élodie gémit doucement. Blanche remarque qu’elle se branle, cuisses écartées devant sa maîtresse. Blanche n’en peut plus. Son clitoris gonflé exige les caresses. D’un signe de tête, sa maîtresse lui indique le fauteuil situé à droite de la porte. L’accoudoir de bois sculpté en forme de volute fera un parfait substitut. Elle écarte les jambes, se place au-dessus de l’accoudoir, plie les genoux pour presser son sexe béant sur le bois lisse. Elle savoure le contact contre son bouton gonflé. Elle perd toute pudeur, et commence à aller et venir en répandant sa mouille sur le bois. * * * Élodie jette de temps à autre un coup d’œil par-dessus son épaule pour voir comment Blanche réagit à la situation. Elle comprend vite que la jeune servante n’a rien d’une oie blanche. Non seulement elle apprécie le spectacle, mais, quand ...
    ... elle trouve le moyen de se masturber sur l’accoudoir, Élodie comprend que sa jeune collègue cache sous des dehors innocents un instinct de jouisseuse. Sous sa langue, la fente de sa maîtresse dégouline. Elle adore le goût salé et un peu âcre de sa mouille. Son odeur puissante lui donne une irrépressible envie de se caresser. Elle taquine le clitoris érigé, gonflé de désir, et sent sa maîtresse trembler sous elle. Elle lève les yeux, pour regarder les lèvres de Mme de Valençon enserrer le pénis épais du valet. Elle sait, pour l’avoir déjà sucé elle-même, qu’il faut un certain talent pour ne pas s’étouffer. Mais sa maîtresse a tant d’expérience que le membre semble rentrer sans peine. La voir s’activer sur ce membre dressé, caresser les testicules, sucer le gland, lécher le frein, enfoncer le pénis jusqu’au fond de sa gorge est un vrai plaisir. Elle en oublie presque de sucer sa maîtresse, mais celle-ci lui plaque le visage contre son sexe béant pour la rappeler à la tâche. Elle recommence à sucer, en se plaçant de telle manière que Blanche puisse bien voir ce qu’elle fait. Elle écarte les lèvres gonflées pour révéler le clitoris palpitant de désir. Elle lèche toute la fente en tantôt délicatement, tantôt avec fougue. Elle sent Mme de Valençon prête à jouir, et suspend ses caresses : elle sait combien elle apprécier rester pendue au bord du plaisir, laisser refluer l’orgasme pour le faire revenir. Elle profite de cet instant pour se relever, et approcher sa tête de celle de sa ...
«12...567...11»