Une Femme Amoureuse Pt. 01
Datte: 19/06/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Tiens! Quel cul! Tiens! Tiens! » Maintenant les brûlures lui enflammaient le ventre, le gros dard devait déformer ses entrailles, sa vulve coulait sans interruption, la jouissance ruisselant jusqu'à ses genoux. L'absence de bitte dans sa chatte la frustrait encore plus et la rendait folle. Puis une bouffée de plaisir intense sembla crisper son vagin et ses reins, elle hurla. « Ohh, Thomas! Je viens, chéri! » « Tu vas tout prendre, ma salope! Tu veux jouir? Hein? Tu veux mon jus! » « Vas-y chéri! Envoie tout dedans! Salaud! Oh c'est bon! Bourre-moi Thomas! » Il accéléra ses pénétrations et se coucha sur le dos de sa mère. Attrapant ses beaux globes de chair à pleines mains, il se déchaîna, insensible à ses cris de plaisir ou de douleur. Depuis qu'il lui avait pris les seins, la femme ne s'appartenait plus, elle était complètement vaincue par le jeune homme, ouverte, offerte, il aurait pu lui défoncer les reins! « Tiens-moi chéri, je vais tomber! » « Tiens! Je viens, maman! Tiens! OHhhh! » « Oui, chéri! Vas-y mon amour! Attends je vais t'aider! » « Oh chérie! Je jouis, maman! Oh! » « Moi aussi mon amour, oh c'est bon! Vide-toi bien! Mets en plein! ...
... Je suis à toi, mon chéri! Baise-moi bien! » Passant une main entre ses jambes, elle souleva les glandes du jeune homme, caressant au passage la belle verge comme elle pouvait. Elle aurait voulu faire bien plus, elle ne pouvait que serrer les fesses pour bien emprisonner le gros tuyau qui arrosait ses intestins. Elle pouvait presque imaginer les jets de sperme dans son ventre et elle en rêvait debout. Thomas lui martyrisait les mamelons et cela créait de violentes bouffées de bonheur parcourant ses seins, pour se noyer dans son anus et sa vulve. Elle aurait aimé qu'il puisse l'enculer comme cela pendant des heures. Mais petit à petit les bourrasques cessèrent sans pour autant qu'il la lâche ou qu'il ressorte! Elle avait du mal à récupérer, une phrase trottait dans sa tête : « J'aime sa bitte, j'aime sa bitte, elle est à moi, c'est mon mâle! ». Le couple était toujours étroitement enlacé. « Je n'arrive pas à te lâcher, maman! Je te veux te posséder, tu sais! » « Moi aussi, je le veux, Thomas! Serre-moi encore contre toi un peu, après nous mangerons un bon steak, avec un bon verre de vin rouge. Cela devrait te requinquer et nous irons au lit, OK? »