Une Femme Amoureuse Pt. 01
Datte: 19/06/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... encore un? Avait-il seulement le nécessaire? L'évocation de son sexe lui paraissait moins répréhensible qu'un instant plus tôt. Elle l'aimait tellement! Était-il trop timide pour obtenir ce genre de caresse par une amie? Était-ce la raison pour laquelle Caroline l'avait quitté? Il apparut soudain, dans son esprit, comme dans un rêve. À dix-huit ans, il est déjà presque un homme, splendide, beau et sportif. Peut-être lui manquait-il cette dose d'assurance qui colle aux étalons collectionnant les aventures. Pouvait-elle réellement lui apporter ces qualités? Avec une simple fellation? Une mère pouvait-elle s'oublier pour le plus grand bonheur de son fils? Ce pouvait être comme un sacrifice, pour son plus grand bien. Plus elle réfléchissait, plus elle se trouvait des excuses pour désirer lui faire cette caresse si « naturelle ». Ce ne serait pas la première fois qu'elle sucerait une bitte d'homme, c'était même très doux et agréable, pensait-elle. Y avait-il plus beau « cadeau » à lui faire? Le reste ne serait que jeux vidéo, informatique, voyages, toutes choses banales en quelque sorte. L'humidité suintait entre ses cuisses magnifiques à l'évocation d'un sexe mâle. Mais cela n'était, d'après elle, pour rien dans ce qui semblait être son choix définitif. Une abstinence forcée en était sûrement la cause principale, puisqu'elle vivait seule depuis de nombreuses semaines. Maintenant que sa conscience avait déserté, devant son désir puissant et malsain, il ne restait qu'à imaginer la ...
... situation propice à cet acte bénévole et désintéressé. Lorsqu'il rentrerait, vers dix-sept heures, il prendrait sa douche habituelle, puis, comme à chaque fois, il se baladerait en peignoir pour aller se vautrer sur le divan du salon. Il suffirait, alors, de l'attirer dans la chambre, ensuite elle agirait sans rencontrer de difficultés : un jeune homme ne refuse pas ce genre de gâterie. Toutefois, elle ignorait si son sexe s'érigeait facilement, il faudrait choisir une tenue très légère, une nuisette jolie et transparente, il avait toujours tendance à la mâter, il en aurait pour son diplôme. Parfaitement en paix avec une conscience aux abonnés absents, Charlène vécut la journée avec à l'esprit ce qu'elle avait projeté de faire. Plus le temps passait plus elle aspirait à cette caresse. Cela coulait en elle comme un ruisseau rejoignant la rivière, puis le fleuve, un fleuve blanc, au goût puissant, dont sa gorge avait de plus en plus soif. Tout son corps s'enflammait, elle avait besoin d'un homme. Pour se calmer, elle partit au centre commercial se changer les idées. Elle hésita longtemps devant la pharmacie, mais renonça aux tranquillisants. Au contraire, elle acheta de splendides sous-vêtements très suggestifs, bien qu'au dernier moment elle décida de rester nue sous sa tunique, cela assurerait, à coup sûr, l'érection de son fils. Il était dix-huit heures trente et Tom n'était toujours pas rentré, elle s'inquiétait autant pour lui que pour ses projets. Dix minutes après, elle ...