1. Dans l'abri pendant la tempête (1)


    Datte: 03/05/2018, Catégories: Erotique,

    ... lui propose un peu de nourriture… mais elle n’aura pas le temps de manger : nouvel éclair, et soudain un bruit de train, qui augmente, monstrueux, elle s’approche de la fenêtre pour regarder, un énorme craquement, le plafond s’ouvre près de la fenêtre, j’ai juste le temps de la tirer en arrière, une branche surgit exactement là où elle se tenait, de la pluie entre, je la tiens contre moi, elle se tient blottie contre moi… je l’entraine dans le coin opposé, les éclairs et le tonnerre continuent de déchirer la nuit… je ne suis pas tellement plus rassuré qu’elle depuis que le toit a cédé…. Et puis ça finit par se calmer, elle me regarde enfin : "Merci, vous m’avez évité le pire…". Je suis ébloui par ce qu’un éclair me fait entrevoir, elle est si belle avec ses cheveux mouillés…. Elle tremble, et je m’aperçois que moi aussi… je la désire, soudain, maintenant que le plus fort semble passé… je cherche à l’embrasser… elle se détourne… puis hésite, me laisse poser mes lèvres sur les siennes, se détourne… j’ai l’impression que tout son corps hésite, résiste… puis elle cède, m’offre sa bouche, laisse mes lèvres écraser les siennes… et elle a fondu, elle s’est abandonnée comme on lit dans certains romans, elle cède, me cède, se donne, je m’assois doucement sur le semblant de lit que j’avais installé, je l’allonge, elle se laisse aller en arrière, j’ouvre les vêtements que je lui ai donné, elle a un moment de résistance… me laisse faire … j’ai un mal fou à défaire son soutien gorge, je ...
    ... renonce, je relève sa jupe, je lui arrache sa culotte, et je sens sa main qui tente de s’y opposer, puis elle renonce, s’abandonne une nouvelle fois… j’écrase sa bouche avec la mienne… j’ouvre mon pantalon, ma queue glisse sur son pubis… elle tremble, elle est tendue, je la pénètre, et comme je la possède, comme je m’enfonce en elle, je sens la résistance de son corps, mais elle me tire vers elle, elle se crispe et comme je force le passage elle crie dans un éclair qui nous illumine à ce moment-là… elle est - était vierge, ça me traverse l’esprit d’un coup… et je suis pris d’une espèce de tendresse qui envahit toute la suite de la nuit… je commençais à la baiser et je lui fait l’amour… comme on fait l’amour à une femme que l’on a attendue longtemps, que l’on va aimer longtemps… elle se laisse faire, mais son corps peu à peu s’éveille au plaisir… je lui dis de mettre ses jambes autour de mes reins, elle hésite, comme si une voix la retenait de se donner complètement… et puis je sens ses cuisses qui se lèvent, son bassin qui bascule, ses chevilles qui se rejoignent derrière mes reins… et elle a commencé à gémir… à me donner sa bouche, à accepter ma langue… quand elle a commencé à jouir je me suis laissé aller, j’ai commencé à la pilonner jusqu’à ce que je l’entende crier, et nos cris se sont mêlés dans les éclairs et le tonnerre…. « Je me suis laissé aller sur elle, l’écrasant de tout mon poids, j’embrassais sa bouche, ses yeux, elle ne disait rien, me donnait sa bouche, ses ...