1. C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. (6)


    Datte: 05/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    On vient de passer une après-midi de folie avec ma petite copine. Elle s’est faite défoncer durant des heures, par de nombreuses queues y compris celle d’un chien, et a engloutit du foutre jusqu’à plus soif. On est près de la gare, on prend un verre, un autre, on dine en attendant notre train de nuit. Elle a bu juste de la bière à midi, j’ai vu où ça l’a conduite, et je la fait boire encore un peu pour la rendre encore plus coquine, plus chaude, plus salace. On discute, on fait mieux connaissance, et je sais enfin son prénom: Elodie. Notre train est à quai quinze minutes avant le départ, et on y monte pour être sûr de ne pas le manquer. Notre compartiment est fermé à clé, et on poireaute dans le couloir en attendant le contrôleur. Il n’y a que nous et ma bouche se soude à la sienne pour une pelle vorace, tandis que ma main glisse sous sa jupe sans rien dessous. Elle m’offre sa langue, savoure la mienne, nossalives se mélangent, et sa main se plaque sur ma braguette. Elle m’excite une fois de plus: — Salope, tu es toute mouillée. Ce n’est pas possible de dégouliner autant, c’est une vraie fontaine sans fin que tu as. — Oui, mais toi aussi tubandes en permanence mon salaud, et j’imagine tes couilles encore bien pleines. — Elle te plait ma queue, salope, tu as envie que je te ramone la chatte. — Oui, la chatte et le cul, je la veux partout ta bite et qu’elle finisse dans ma bouche. Qu’est-ce qu’il fout ce con de contrôleur, je n’en peux plus d’attendre. — Patience, ça va ...
    ... venir. Le meilleur c’est l’attente. — C’est ce que l’on dit, mais demande à mon cul, il pense autrement. On cesse de parler, on se bouffe la poire, je fouille sa fente et elle a descendu ma fermeture pour glisser sa main dans mon slip. Enfin le contrôleur arrive, un black, la cinquantaine, bien bâti. Je veux me dégager mais elle me maintient contre elle afin qu’il n’ait aucun doute sur ce que nous faisons. Il est tout près de nous, nous demande nos billets, et nous ouvre la porte. Il nous souhaite une bonne nuit avec un sourire entendu, et nous précise que l’on est les seuls dans la wagon et que l’on n’a donc pas à se préoccuper des voisins. Puis il rajoute que si on a besoin de lui, il a sa cabine à quelques mètres, au bout du wagon. La porte refermée, on se déshabille, et on s’allonge sur un lit, en 69. Je lui bouffe la chatte et le cul, tandis qu’elle me pompe le nœud et me broute les couilles. Puis se souvenant de ma séance avec le mec du chien, elle me fouille le cul et me le dévore. Je me tiens une trique béton, et de son côté elle a les deux orifices ouverts et huilés à merveille. On décide de passer aux choses sérieuses. Elle est debout et je la prend en levrette, en alternant sa fente et son petit trou, qu’il n’y ait pas de jaloux. Elle gueule des obscénités pour m’encourager à la monter comme une chienne, elle jouit, crie, hurle, et je me demande si elle ne simule pas par moment tellement ses orgasmes sont rapprochés, continus: — Ne gueule pas si fort, on dirait une ...
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