1. C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. (6)


    Datte: 05/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... hystérique! — C’est ta queue qui me rend folle, j’aime trop la bite. Et puis on s’en fout, il n’y a personne. — Et le contrôleur, tu l’oublies! — Non, mais s’il veut venir ce n’est pas un problème. La salope, c’est pour l’attirer qu’elle gueule si fort. Elle ne pensait pas si bien dire. On frappe à la porte: — Contrôle. — Oui. — Tout va bien monsieur dame? — Oui, pas de soucis. — Excusez moi, mais j’ai entendu des cris et je dois voir si tout va bien. Vous pouvez m’ouvrir? J’ouvre aussitôt et me montre à lui, à poil, la bite à l’équerre. Il jette un bref coup d’œil sur mon anatomie, et se penche pour voir celle plus intéressant d’Elodie. Elle est nue elle aussi, penchée en avant, elle écarte ses fesses pour exhiber ses deux orifices luisants et béants. — Tout va bien Madame? — Oui, merci de vous inquiétez, mais ça va. — Excusez moi à nouveau, mais dans le doute je suis obligé de faire ces contrôles. Bonne continuation. — Non, attendez, ne partez pas. — Je peux quelque chose pour vous? — Oui, je pense. Mon ami risque avoir du mal à me satisfaire toute la nuit, alors je me dis que vous pourriez l’aider. — Vous êtes sérieuse? Vous voulez que... — Que vous me baisiez, oui. Il y a longtemps que je rêve d’unegrosse bite noire, et si vous voulez m’offrir la votre, vous ne le regretterez pas. Il me regarde, interrogatif, attendant mon avis. Je lui dis que c’est ok pour moi, et il nous dit qu’il revient dans deux minutes, le temps d’aller fermer sa cabine. Je recadre ma copine: — ...
    ... Salope, tu aurais pu me prévenir! — Je ne savais pas qu’il viendrait, mais dans ma position je n’ai pu m’empêcher de l’imaginer me prendre. — Et tu m’as fait passer pour un con, un impuissant. — Mais non, tu es mon meilleur amant, et puis tu sais que j’ai de la place pour vous deux. Tu es fâché? Je lui roule une pelle appuyée pour réponse, au moment même où le contrôleur revient. On est tous les trois debout entre les deux lits, peu de place mais suffisant pour s’occuper de notrepetite pute. Elle fait face au nouveau venu, et s’accroupit, impatience de découvrir ce qu’il a entre les cuisses; j’en profite pour me reposer un peu. Elle défait son pantalon, le baisse, et il ôte ses chaussures pour finir de l’enlever. Il porte un caleçon et elle pose sa main dessus pour estimer le contenu. Elle le caresse tandis qu’il se débarrasse du haut, cravate et chemise. Elle le fait bander peu à peu, plaque le tissu le long de sa verge grandissante pour en dessiner le contour: — Ouah! Cet engin! Elle a l’air trop belle ta queue! — Tu n’as jamais vu une bite de black? — Non, sur internet mais pas en vrai. J’en ai vu des énormes, on dirait que c’est truqué. — Non, ça ne l’est pas, fais moi bien bander et tu vas voir ce que c’est une grosse queue. Elle ouvre sa braguette et glisse sa main. Elle frotte tendrement ce beau boudin, le fait encore s’épanouir et durcir: — Hum, c’est bon, elle est chaude ta queue, elle est douce, mais surtout elle doit être magnifique, il me tarde de la voir. — Enlève ...