1. Un short LOVE, un short de pute. (4)


    Datte: 06/05/2018, Catégories: Trash,

    Où l’on apprend tout sur cette pute de Jean-Claude Carole est d’accord pour que l’on se retrouve chez mon pote, et il me reste à l’appeler. C’est un vieux (presque vingt ans de plus que moi) que j’ai connu dans un sex-shop du temps où je les fréquentais. C’est une tarlouze finie, qui suce et se fait mettre à volonté, à la vue de tous. Dès la première fois que je me le suis fait il m’a proposé de me recevoir chez lui. On s’est fait de nombreuses baises, mais cela fait un bon moment que je ne le vois plus. On est vendredi soir, j’ai gardé son numéro, et je l’appelle: — Allo, Jean-Claude! — Oui. — Bonjour, c’est Eric, tu te souviens de moi? — Ah, Eric, oui bien sûr, salut. Mais ça fait longtemps dis moi! — Oui, plus d’un an je pense. Je suis en manque et je pense à toi. Tu aimes toujours la queue? — Oh oui, je l’aimerais jusqu’à mon dernier jour. — Je peux venir te voir demain? — Attends, je regarde mon agenda. .................. Ok, je suis libre, tu peux venir à partir de quinze heures, pas avant je fais la sieste. — Ok, ça marche, je serais là. Bisous mon chéri, à demain. — A demain mon amant, bisous. J’aurais pu lui faire ma demande par téléphone, mais il me semble qu’il sera plus réceptif au cours d’une petite partie. Je suis chez lui à l’heure prévue, et on s’empresse d’aller dans sa chambre. On se défringue, je le prends dans mes bras, on se roule une pelle vorace et il me branle la queue: — Oh cette bite mon salaud, tu es toujours aussi chaud! Allonge toi sur le lit, ...
    ... je vais te sucer. Je m’installe, les cuisses bien ouvertes, le manche à l’équerre. Il vient entre mes jambes, me gobe sans tarder, et on discute en même temps comme on aimait le faire. Il adore me raconter ses aventures, se replonger dans ses plus chauds souvenirs. — Hum, oh putain que c’est bon, tu pompes toujours aussi bien ma salope. J’en ai connu des trainées, mais tu es la meilleure de toutes, la reine des suceuses. — Salaud, tu es toujours aussi pervers. J’aime ton regard cochon, j’aime tes mots orduriers, vas-y, insulte moi, fais toi plaisir, tu sais que j’aime ça, surtout si ça te fait encore plus bander. — Mais je ne t’insulte pas ma salope, je te dis juste ta vérité. Tu es une vicieuse, une chienne, une sous-merde. — Salaud, c’est bon comme tu me parles. Tu aimes comme elle te suce ta pute? — Oui, je te l’ai dit, tu es la meilleure. Remarque avec toutes les pipes que tu as au compteur, c’est normal. — Tu sais combien j’en ai fait de pipes dans ma vie? — Non, mais tu vas me le dire. — Plus de cinquante mille. — Cinquante mille! Et pourquoi pas un million! Tu es de Marseille? — Non, j’ai calculé, et si j’avais réellement compté je pourrais être dans le Guinness des records. Je suce depuis l’âge de vingt-et-un ans, pratiquement tous les jours jusqu’il y a un an, plusieurs fois par jour. Ca me fait au moins mille pipes par an. Alors cinquante mille, c’est un minimum. — Salope, grosse pute, tu as dû engloutir des tonneaux de foutre! — Non, pas autant, mais d’après mes ...
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