Un short LOVE, un short de pute. (4)
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
Trash,
... calculs j’ai dû avaler au moins cent litres. — Grosse pute, ordure, et tu es fière de toi! Je vais t’offrir mon plein de couilles ma salope, ça va augmenter ta collection. — Oui, avec plaisir mon salaud, mais pas de suite. Je veux d’abord me régaler de ta belle queue, elle est trop bonne. — Sans problème putasse, je vais me retenir tant que je peux. Tu ne m’as jamais raconté ta première fois, c’était comment! Il se fait alors un plaisir de me relater cette expérience inoubliable, en alternant les phrases et les succions: Il a dû attendre vingt-et-un ans, la majorité à l’époque, pour enfin pouvoir fréquenter assidument un cinéma X. Il était puceau et fantasmait devant les films, des films hétéros avec un public hommes et femmes, et une fois par semaine des films gays avec un public uniquement masculin, ses préférés, qu’il ne manquait jamais. Le cinéma était tenu par deux hommes, qui semblaient s’intéresser à lui. Un jour ils lui firent une proposition sans équivoque: il lui offrait les entrées gratuites s’il se montrait gentil avec eux. Ils avaient la quarantaine, étaient beaux, sympas, et il accepta. A la fin de la séance, il restait seul dans la salle, et les hommes le rejoignaient après avoir fermé boutique. Il les suçait tous les deux, à fonds, avalait tout, tandis qu’ils se roulaient des pelles gourmandes. Il est lancé dans ses souvenirs, et me raconte sa première sodomie. C’était toujours au cinéma, soir de film gay, et un homme mûr est venu s’asseoir à côté de lui. Il ...
... a déballé sa queue et lui a demandé de sortir la sienne. Il se sont branlés, se sont sucés, puis il lui a proposé d’aller chez lui. Ils ont baisé, se sont enculés à tour de rôle. Il a renouvelé de nombreuses fois les séances, avec cet amant, et aussi les deux patrons du ciné qu’il pompait tous les jours. Il me suce toujours, en pointillé, et est très volubile, se plait à retracer son parcours. J’ai besoin de ses services et le laisse faire. Il a dû déménager à cause du boulot, et s’est trouvé un autre cinéma, d’autres partenaires. Et puis le cinéma a fermé, et il s’est trouvé devant une grille close, en même temps qu’un autre client qu’il connaissait intimement. Celui-ci lui indiqua alors un sex-shop, avec une salle de cinéma. C’était une petite salle, uniquement des hommes, et qui se branlaient en solitaire pour la plupart. Certains se retrouvaient au fonds de la salle, contre le mur, derrière le dernier rang. Ils se branlaient entre eux, ils s’embrassaient, ils se suçaient, il arrivait même qu’ils s’enculaient. Il s’est joint à eux, et est vite devenu leur coqueluche. Ils se succédaient dans sa bouche et son cul, et il lui arrivait de satisfaire plus de dix queues en une soirée. Puis le sex-shop a fermé lui aussi, pour ouvrir un peu plus loin, et devenir celui où je l’ai rencontré. Un sex-shop, avec des salles emménagées pour la baise: des lits, des canapés, des coins obscurs ou éclairés, des glories-holes, des mouchoirs papiers, distribution de capotes et gel à l’entrée. ...