Petit matin
Datte: 07/05/2018,
Catégories:
fh,
volupté,
Oral
tutu,
ecriv_f,
... dis-je, le visage collé contre la vitre, ce qui semble étouffer mes mots lorsque je sens ta main passer entre mes jambes, saisir ta queue et l’aider à entrer en moi avec lenteur. Les yeux clos, j’ai l’image de tes doigts sur ton sexe, comme si je pouvais voir à l’instant précis entre mes cuisses. J’aime cette vision qui s’ajoute au plaisir de te sentir en moi… À l’entrée de ma chatte, immobile comme pour laisser le temps à ton sexe de prendre connaissance des lieux… De s’accoutumer. Je me soulève un peu à nouveau sur la pointe des pieds, je me cambre et viens vers toi pour t’inviter à entrer bien au fond, bien au chaud. Et tu viens, comme je l’aime… Lentement mais de toute de toute ta force, de toute ta vigueur. J’ai l’impression que ta queue est si puissante qu’elle pourrait me soulever. L’étreinte de tes mains sur mes hanches ne fait qu’accentuer les mouvements de mon corps pour te chercher, t’emmener plus loin, te montrer le chemin. Puis tu prends les rênes et accélères la cadence, tu donnes des coups de reins longs puis très courts… Tu tournes à ton tour ton bassin pour décrire des cercles en moi avec ta queue, et celle-ci caresse toute mon intimité… Aucune zone érogène n’est épargnée… Ton mouvement déclenche en moi des spasmes de plaisirs qui laissent présager mon orgasme imminent. S’ajoute à cela, le fait que mon souffle rauque a été remplacé par des gémissements de plus en plus sonores et que ma main vient sous les pans de ton peignoir pour que mes doigts ...
... agrippent littéralement l’une de tes fesses, comme pour te donner le feu vert. Dans un sanglot étouffé, j’arrive à murmurer avec peine un VIENS presque inaudible… Mais tu prends toutes les manifestations de mon corps pour une invitation sans équivoque et tu t’abandonnes dans un râle de plaisir en moi. Je sens ton sperme gicler à plusieurs reprises et venir envahir ma chatte, la remplir. Nous restons quelques instants immobiles, tremblants, laissant le bien-être nous gagner, lorsque la voix de Paoli ressurgit comme de nulle part pour nous rappeler que le jour reprend ses droits sur la nuit, que le café est coulé depuis déjà un long moment, et que l’heure ne s’est pas arrêtée de tourner malgré cette Parenthèse enchantée… Allongée à tes côtés, je me réveille doucement, sentant la chaleur de tes bras autour de moi… Celle de ton souffle sur ma peau. Sentant ton sommeil, ton abandon, la régularité de ta respiration. Je ne bouge pas, j’ouvre juste les yeux et je te regarde dormir pendant un long moment. Tu n’es plus grave, tu es détendu… Les questions au sujet de notre histoire te laissent un peu de répit dans le sommeil… Rien ne vient te perturber et je te sens paisible. Je n’ai pas envie de perturber ce calme à mon tour ! J’ai envie que cet instant ne s’arrête pas… Le plus bel endroit au monde… Au creux de tes bras. L’unique endroit où j’ai envie d’être… Tu bouges un peu desserrant ton étreinte autour de moi. Mes bras sont alors libres de leurs mouvements sans pour autant risquer de ...