Monstrueuse - Le journal
Datte: 07/05/2018,
Catégories:
fh,
complexe,
laid(e)s,
revede,
Masturbation
journal,
lettre,
J’avais passé une longue nuit blanche, à renifler sa culotte et à découvrir ses petits secrets. Et surtout je m’étais abondamment masturbé. En un mot j’étais crevé. J’ai profité que ce matin là tout le monde partait de bonne heure, y compris "my mother" qui avait rendez-vous avec une vieille amie, pour faire la grasse matinée. Et je me suis endormi avec la culotte de ma dulcinée sur le nez, profitant de ces effluves que je trouvais sublimes. Je crois que j’ai fait des rêves très très érotiques. Lorsque je me suis réveillé, je me suis aperçu que je bandais comme un ours. J’avais cherché désespérément dans son journal quelques lignes me concernant pour finalement tomber sur ce passage : Bonne psychologue ! C’est vrai que j’avais un faible pour cette belle blonde sculpturale et que je fantasmais sur elle depuis bien longtemps, avant même que Philippe n’en fasse son affaire. Un autre passage, quelques pages plus loin : Et puis aussi, plus récemment : Tu parles qu’il le cachait son jeu. Il vivait à la colle avec une brunette incendiaire ! Qu’elle pense à Nicolas avant de penser à moi, ça m’a rendu incroyablement jaloux, à tel point que j’ai balancé le cahier à travers la pièce : — Salope, va te faire foutre avec ton connard, c’est moi qui t’aime Ces derniers mots se sont étranglés dans ma gorge. Ça va pas la tête, je peux pas aimer ce monstre. Si je le peux, bien sûr que je le peux, et bien sûr que je l’aime. Je me suis levé, il était midi passé, j’ai ramassé le cahier et je suis ...
... allé me doucher. (Par la suite cette petite vicieuse indiquait qu’elle s’était branlée sur son lit en nous écoutant bavasser tous les cinq et elle avait joui, à ses propres dires « d’une façon incroyable et irraisonnée ».) Ma mère est rentrée, nous avons déjeuner, ensuite je suis parti. J’avais des TPs. Philippe était encore dans un de ses mauvais jours : — T’as fait quoi ce matin ? Je t’ai attendu, il faut que l’on travaille sur notre dossier.— Il paraît que le prof est malade et que c’est repoussé d’une semaine— Ça c’est une bonne nouvelle— N’est-ce pas ?— Putain, quelle ambiance à la maison, ma sœur a piqué une crise d’épilepsie, le toubib est venue la piquer. Complètement hystérique, complètement azimutée, elle a failli me défigurer. On devrait l’enfermer. Tout ça à cause d’un cahier que je lui aurais soi-disant piqué. Non mais je te jure. Et puis le pater n’a pas digéré que je lui esquinte sa bagnole. Faut dire que je lui avais pas trop demandé l’autorisation lorsque je l’avais prise. Si ça continue, je vais me casser de la barraque, quitte à trouver un studio et à prendre un petit job à mi-temps.— Allons, déconne pas, t’es bien chez tes vieux. L’année dernière j’ai fait le même coup à mon père mais ça s’est arrangé.— Ouais, t’as raison, mes vieux sont plutôt cools. Mais c’est surtout l’autre tarée, je ne peux plus la supporter.— T’es pas très conciliant, imagine comme elle doit souffrir de son état.— C’est pas une raison pour me pourrir la vie. T’aurais une sœur comme ...