1. Les entremetteuses


    Datte: 07/05/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, vacances, campagne, collection, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, portrait,

    ... comprendre, Charles… Comme ma maman m’avait bien élevé, je suis allé souhaiter un bon retour à Maryse et à sa mère qui attendaient, dans le hall avec d’autres, le bus qui assurait la navette vers l’aéroport. Après les vacances, la routine reprit ses droits ; calme plat pendant deux mois. Ma sœur m’apprit que sa copine qui accompagnait son époux à l’hôpital s’était entichée du kiné polonais qui faisait la rééducation de son mari. Elle avait enfin connu le plaisir physique… Édith avait, semble-t-il, complètement oublié son sacrifice inutile. Faut dire qu’elle avait d’autres préoccupations. Elle s’en était confiée à moi pour que je la conseille, vu qu’elle avait juré à Benjamin que sa mère ne serait pas mise au courant. La Saint-Sylvestre, Benjamin la passa avec maman et mamie. Le futur ingénieur en profita pour se confier à sa grand-mère adorée. La seconde fille d’Édith avait séduit Benjamin. Elle lui apportait le petit déjeuner en nuisette ; elle se promenait régulièrement dans la maison en lingerie ; elle ne fermait jamais la porte de la salle de bain… Bref, Benjamin, qui n’était pas de marbre, s’était envoyé sa tante plusieurs fois. C’était d’une banalité évidente sauf que, maintenant, le mari assistait aux ébats de son épouse et y prenait beaucoup de plaisir. En fait, Édith pensait que Benjamin s’était fait rouler dans la farine car le couple était complice. L’épouse faisait d’une pierre deux coups : elle faisait plaisir à son mari et elle s’envoyait en l’air avec un jeune ...
    ... sportif bien membré. Édith se sentait, pour le moins, dépassée par les événements, mais je n’avais aucun conseil qui puisse la rendre plus sereine. « Chacun sa m***e ! », comme disait souvent le patron du dernier bistro du village. Dorénavant, quand des copains ou la famille m’invitaient, je posais mes conditions : pas question qu’ils me fourguent comme voisine de table une de leurs connaissances du genre dame esseulée, divorcée ou veuve ! Pour les bouffes familiales ou celles entre copains, tout le monde respecta ma demande. Quand un vieil ami m’invita au repas de son départ en retraite, je me permis de lui faire la même requête, dans la mesure du possible évidemment. Le salaud respecta ma demande à la lettre. Il m’avait attribué une place à une grande table ronde où il n’y avait que des vieux. Trois couples et deux dames seules d’au moins soixante-dix ans et plus… C’était un coup de son épouse. Elle me détestait, et c’était réciproque ; elle était d’une bêtise à pleurer, cette conne ! Ils ne parlèrent pas trop longtemps de leurs nombreux problèmes de santé, avec toujours l’éternelle conclusion dans ce genre de conversation : « Il faut profiter de la vie à 200 % : on ne sait pas de quoi demain sera fait… » Par politesse, je fis quelques danses avec ces dames, forcé et contraint par leurs maris qui me refilèrent la corvée. Vers 23 heures, une des vieilles dames seules prit sa chaise, se mit un peu à l’écart et s’assoupit. Le mari de la dame aux cheveux blanc platine de notre ...