Les entremetteuses
Datte: 07/05/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
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campagne,
collection,
noculotte,
Oral
préservati,
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fsodo,
portrait,
... petite pause qu’on s’octroya, elle m’expliqua que c’était l’avenir de son unique petit-fils, Benjamin, qui la perturbait. Benjamin venait de prendre conscience que le master de chimie qu’il terminait ne déboucherait pas facilement sur un emploi à la hauteur de ses espérances. Il voulait continuer pour obtenir une thèse, mais ça faisait encore trois ans d’études, et de gros problèmes financiers allaient se poser. Anne, sa mère, bien qu’ayant un salaire modeste, n’avait pas eu droit à une bourse pour les études de son fils. En plus, elle payait un loyer astronomique pour son petit appartement en ville. Le père de Benjamin avait reconnu légalement sa progéniture, mais il n’avait pas eu le courage de divorcer pour épouser Anne. Les ponts étaient rompus depuis quinze ans : pas d’espoir financier à espérer de ce côté ! Anne avait donc fortement suggéré à son fils de passer, en parallèle avec son master, les concours des écoles d’ingénieur chimiste. Édith me demanda ce que j’en pensais. Je trouvai l’idée de sa fille très pertinente ; Édith aussi. Quand on avait emménagé, mon épouse et moi, dans la maison qui jouxtait la sienne, il y a vingt-huit ans, Édith nous avait accueillis avec chaleur. On avait tout de suite sympathisé et nous étions devenus de grands amis, bien qu’Édith fût d’une dizaine d’années notre aînée. C’était une femme intelligente qui aurait dû trouver un meilleur emploi que celui d’ouvrière dans une usine textile, mais elle nous l’avait avoué, Édith avait toujours ...
... eu horreur de l’école. Son mari, lui, était un sombre crétin ; et encore, je suis indulgent ! Paix à son âme, puisqu’il nous avait quittés il y a une dizaine d’années. Édith arrêta de jardiner quand l’horloge de l’église martela ses onze coups. Elle devait prendre une douche et se faire belle car son copain l’emmenait au restaurant comme tous les mercredis. Sa liaison durait depuis un an, discrète ; ses deux filles n’étaient pas encore au courant. Elle était dans sa soixante-troisième année, mais Édith restait encore désirable. Un peu potelée, certes, mais toujours bien maquillée et très coquette avec une coiffure à la mode : des cheveux coupés très court, teintés d’un roux flamboyant, qui se dressaient en pointes désordonnées, raidies par du gel. Il y avait quand même un bémol : Édith avait, comme on dit, du caractère ; et en plus, madame était très soupe au lait : il ne fallait pas la contredire ni lui souffler dans les naseaux, à la mamie ! Comme elle m’avait demandé gentiment de couper une branche de mon pommier qui allait faire de l’ombre à ses semis de radis, je me suis exécuté en grimpant sur mon échelle. Je ne vis que trois secondes son buste passer devant la large fenêtre de la salle de bain, les nichons à l’air, ses seins lourds se baladant lentement dans l’espace. Les aréoles aperçues brièvement me semblèrent bien larges, et les seins un peu affaissés quand même. Bizarrerie génétique, sa fille aînée, Anne, était totalement dépourvue de poitrine. J’avais découvert un ...