Les entremetteuses
Datte: 07/05/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
vacances,
campagne,
collection,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
portrait,
... tout à fait par hasard. Il aurait occasionné, à coup sûr, un infarctus à sa mère, assez traditionaliste sur certains points. D’ailleurs j’aurais pu le lui révéler à l’instant présent pour me sortir d’affaire, mais je voulais me comporter dignement. Je tentai donc une seconde tentative. — Édith, ta fille est intelligente, sympathique, courageuse, mais je suis désolé : elle n’a pas plus de poitrine qu’une gamine ! Moi, il me faut une poitrine généreuse, des gros nichons, de quoi occuper les mains d’un honnête homme. Je pensais avoir marqué le point décisif car elle se leva silencieusement, perturbée, pour aller dans la cuisine, vu qu’un minuteur venait de retentir. Elle fit demi-tour et me lança : — Tu as les moyens de lui payer des prothèses en silicone, non ? Édith croyait m’avoir cloué le bec ; mais là, je suis resté inébranlable. — J’ai horreur des nichons artificiels : je hais les mamelles en silicone, Édith. C’est laid, on voit les coutures chirurgicales. Le simple fait d’imaginer poser ma main sur une poche remplie de gélatine me donne la nausée. Sur ce cri du cœur sincère, je la laissai éplucher les carottes et je m’occupai du mauvais contact électrique de la lampe, croyant avoir définitivement coupé l’herbe sous le pied à cette mythomane. Grossière erreur ! — Puisque tu veux vraiment des seins naturels de bonne taille, je serai à ta disposition quand tu en auras envie, dès qu’Anne aura emménagé chez toi. Bien sûr, ça restera entre nous. Je me retournai donc vers la ...
... cuisine, furax. J’avais déjà la réplique en bouche ; tant pis pour les dégâts inévitables qui s’ensuivraient ! D’abord, c’était moi qui choisissais mes partenaires ; ensuite, je n’étais pas trop en manque ces temps-ci, et malgré l’estime que j’avais pour elle, elle me semblait un peu trop âgée à mon goût. Enfin, c’est ce que je voulais faire… Parce qu’Édith avait déjà franchi la porte de séparation et qu’elle s’amenait, sans le haut du pyjama, les seins à l’air. Le sourire mielleux, elle inclina légèrement le buste et imprima à ses nichons un mouvement latéral qui les entraîna dans un lent balancement d’horloge suisse. J’étais un peu dépassé par les événements. Elle en profita pour se saisir de mes mains et les poser sur ses mamelles qui bougeaient encore. Elle insista lourdement pour que je vérifie que c’était bien du naturel avant de me prendre par la main et de m’entraîner vers son salon. Elle s’assit dans un fauteuil et me tira par la ceinture pour que je lui fasse face. Édith me baissa alors le pantalon et le slip en même temps jusqu’aux chevilles et entama une fellation, sans aucun état d’âme. Je ne savais pas quoi faire. Certes, la fellation était tout à fait convenable, mais je me sentais entraîné, par lâcheté, dans une spirale irréversible. Mon imprévisible voisine, après s’être essuyé les lèvres d’un revers de main, souleva légèrement ses fesses du fauteuil pour se débarrasser du pantalon de pyjama. Édith ne portait pas de culotte pour dormir. Elle posa ensuite chacune ...