1. Avec Vincent


    Datte: 08/05/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fépilée, rasage, Oral pénétratio, portrait,

    ... sur son dos et sur sa poitrine. Elle frissonnait et de temps en temps elle avait encore quelques petits hoquets de sanglots. Malgré la douceur dans la pièce, il rabattit la couette sur eux. Elle s’excusa auprès de Vincent de s’être laissée aller comme cela. Il ne voulut pas de ses excuses lui disant que son plaisir se montrait tel quel et qu’il n’y avait pas à en rougir ni à s’en excuser. Voilà ce qu’elle aimait dans Vincent. Sa façon à lui de lui faire l’amour, sa patience et sa tolérance. Il était un amant attentif à ses besoins et Julia savait qu’à chaque fois qu’elle se donnait à lui, elle aurait son plaisir. Avec Vincent, pas de demandes particulières. Une relation toute simple où leurs sentiments à défaut d’être marqués et sincères évoluaient vers une douce complicité. Vincent se confiait peu sur sa vraie vie de couple. Marié depuis 8 ans, il avait trouvé en Julia une maîtresse qui le contentait et lui donnait un peu plus que ce que son épouse lui dispensait. Elle ne voulait pas savoir ce que sa rivale faisait – ou ne faisait pas – à son amant. Son manque d’inventivité était peu de chose à côté du plaisir qu’il lui donnait. Moins elle en savait sur Vincent, mieux elle s’affranchissait d’une relation trop passionnelle. Ils se fréquentaient depuis près de 18 mois. Il habitait à une douzaine de kilomètres de chez elle et de façon régulière se présentait souvent le samedi matin chez elle. Mais ...
    ... Julia avait aussi une seconde vie. Elle avait besoin d’un peu plus et avait trouvé en Dominique le complément à une relation plus aboutie. Elle n’avait jamais imaginé qu’un jour, à deux hommes elle se donnerait. Si elle faisait un retour en arrière, elle se disait que rien ne l’avait prédisposée à adopter une telle conduite. Elle venait d’emménager dans ce grand bourg à la périphérie de Poitiers. Sa société dont le siège était à Paris avait délocalisé une partie de ses services administratifs sur la région Poitou. Avec les aides financières pour préparer cette mobilité, elle avait pu s’installer en province et quitter la vie grouillante de la capitale. À Paris, elle avait eu quelques aventures avec des membres de son entreprise. N’ayant de comptes à rendre à personne elle avait eu néanmoins quelques soucis à se défaire des importuns qui, ayant eu ses faveurs une fois, se sentaient obligés d’en vouloir un peu plus. Certains de ceux-là avaient, eux aussi, émigré sur Poitiers et n’avaient pas tardé à colporter sur elle des faits qui, dans l’absolu, n’étaient pas inexacts mais ne souffraient pas de publicité tapageuse. Quelques amants d’un soir ou d’une semaine s’étaient pressés à sa porte et, comme dans toute ville moyenne de province, tout cela était scruté et commenté. Voilà ce qu’était la relation de Julia avec son amant Vincent. Avec Dominique c’était différent mais cela est une autre histoire. 
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