Avec Vincent
Datte: 08/05/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fépilée,
rasage,
Oral
pénétratio,
portrait,
Comme à chaque fois, elle se douta de la suite et comme à chaque fois elle ne se trompa pas. Vincent se dégagea de ses bras, l’embrassa sur le front et en la regardant à peine, commença à se rhabiller. Elle savait que dans 5 minutes, il serait parti en invoquant l’excuse habituelle de devoir aller accompagner son épouse ou un de ses enfants pour de mystérieux rendez-vous médicaux, ou bien alors les conduire pour l’après-midi dans un parc de loisirs dont la promesse d’y aller avait été faite il y a déjà plusieurs semaines. Ce qu’elle en savait c’est qu’elle resterait seule pour la fin de la journée. Elle ne se plaignait pas car elle avait passé un très bon moment en sa compagnie mais elle aurait tant aimé profiter des moments d’après l’amour. De ces moments où les amants retrouvent la parole, se caressent et ressentent souvent le besoin de recommencer. Qu’importe, elle reprenait son souffle, haletante du plaisir qu’il lui avait donné. Elle aussi, elle s’était satisfaite de lui. Il s’était répandu en elle en poussant un cri qui l’avait émue. Vincent, son amant avait 32 ans, il était marié avec deux enfants. Il avait comme qualité d’être discret et comme défaut d’être peu inventif. La discrétion était de mise dans la relation que Julia entretenait avec lui… et avec un autre. La petite ville de province qui l’accueillait ne souffrait de liaisons ni voyantes ni tapageuses. Julia avait connu des hommes qui, par manque de tact, lui avaient fait une réputation de fille volage. ...
... Maintenant, tout cela était oublié car elle s’était racheté une conduite en adoptant avec et pour ses amants une discrétion plus que sévère. Voilà la principale qualité qu’elle leur avait demandé d’avoir de façon innée et de développer inlassablement. Le seul défaut de Vincent (pas si important que cela à ses yeux) était le manque d’inventivité. Julia avait été surprise par son goût immodéré pour deux ou trois positions basiques. Elle avait essayé de lui montrer d’autres « variantes » mais il s’était montré quelque peu rétif à ces nouveautés. Alors, pourquoi s’embarrasser de lui ? Car, pétrie des adages de sa grand-mère, elle se remémorait celui qui lui rappelait « Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. » Elle l’avait pour elle, elle le gardait. Il savait néanmoins bien lui faire l’amour et pour cette raison, elle le gardait. Il avait presque fini de se rhabiller. Elle espéra qu’il reviendrait dans ses bras pour qu’encore et encore il la fasse défaillir. Elle repoussa le drap qui la couvrait à moitié et langoureusement, se releva à demi mettant en avant sa poitrine. Elle ouvrit quelque peu ses jambes et s’arrangea pour qu’il découvre un peu plus de son intimité. Le charme n’eut pas l’air de faire effet. Cependant, il la regarda tendrement, s’approcha d’elle, et en lui caressant sensuellement un sein, lui répéta une nouvelle fois qu’il devait partir. Tant pis, c’était toujours ça de pris. Un regard et une caresse qu’elle garderait pour elle un peu plus longtemps que les autres. Un ...