1. Marine et les mécaniciens (2)


    Datte: 09/05/2018, Catégories: fhh, couleurs, extracon, uniforme, revede, préservati, bourge,

    ... Le sein est soulevé, tout doucement, pour être soupesé et amoureusement massé. Le caporal regarde l’épouse d’officier presque timidement, l’air coupable. Cette dernière parvient à trouver la force de poser mollement une de ses mains sur l’avant-bras du mécanicien. Ce dernier ne bouge pas. — Non, s’il vous plaît, il ne faut pas, s’il vous plaît ! gémit la jeune femme d’une petite voix presque inaudible. Mais la conviction est absente de la requête que vient d’exprimer Marine. Acte III : Une Marine se soumet à l’autre La Marine qui lui susurrait de s’abandonner a depuis longtemps terrassé la Marine qui la suppliait de résister à cette flamme qui lui brûle les entrailles. Le plaisir procuré par la caresse de la main du mécanicien est tellement intense que Marine abandonne la partie et ses doigts lâchent leur prise alors que ses yeux clairs fixent celui qui lui inflige cette douce torture. Le Noir et le roux se regardent. Ils semblent se comprendre. Le caporal Robert, respirant de plus en plus fort, s’approche un peu plus de Marine qui le regarde tendrement. Il pose ses mains sur les épaules de la femme et avance son visage pour poser ses lèvres sur la bouche de la jeune femme qui, par son immobilité, accepte le baiser. La langue du roux darde ensuite et s’introduit entre les lèvres finement recouvertes d’un rouge élégant. Les deux muscles entrent en contact et se lient immédiatement. Le caporal Robert caresse d’une main le visage de Marine pendant le baiser qui se poursuit. ...
    ... Les muqueuses se séparent ensuite et le soldat se laisse tomber au sol en s’agenouillant. La jeune femme sent les deux mains du mécanicien se poser sur ses chevilles pour remonter ensuite très lentement sur la peau blanche et douce. Marine ferme les yeux alors que le caporal Karim déboutonne délicatement le chemisier pour libérer les deux mamelles gonflées et avides de liberté. Les masses blanches sont chacune hérissées d’un bout de chair rouge foncé, dressé. Le Noir entreprend de masser les deux globes en même temps. Il les caresse, les soupèse, agace les deux extrémités, les soupèse de nouveau. Marine pose ses deux mains sur les avant-bras du caporal Karim. Elle le regarde d’un air absent et sa bouche, légèrement ouverte, laisse échapper un petit gémissement continu. Le Noir, excité, approche son visage et colle ses deux lèvres sur celles de la mère de famille, qui laisse pénétrer la langue impatiente du caporal et darde la sienne à sa rencontre. Le caporal Robert ne reste pas inactif et promène ses deux mains sur les cuisses pleines et blanches. Les doigts se referment régulièrement sur la chair accueillante, pour la pétrir. Les deux paumes chaudes continuent leur ascension et Marine manque de tomber à terre en émettant une sorte de borborygme lorsque les phalanges du roux frôlent le tissu de la culotte dont les bords laissent échapper quelques mèches folles. Les picotements provoqués par la caresse sont tels qu’elle pose les plats de ses deux mains sur le crâne rasé qui se ...
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