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Marine et les mécaniciens (2)
Datte: 09/05/2018, Catégories: fhh, couleurs, extracon, uniforme, revede, préservati, bourge,
... protections. Marine regarde les deux mâles retirer les préservatifs des sachets et les dérouler de leurs doigts tremblants sur les bâtons durcis. La jeune femme, après un regard adressé à chacun des deux hommes, se tourne vers la commode, écarte les jambes et se cambre. Ses deux avant-bras sont posés sur le meuble et son front repose sur ses deux mains jointes. Les caporaux Karim et Robert se regardent. C’est ce dernier qui prend l’initiative de se positionner derrière Marine. Il saisit le tissu de la jupe afin de la retrousser jusqu’à la taille de sa propriétaire. Les deux mécaniciens nourrissent pendant un instant leur regard du spectacle qui s’offre à eux. La croupe de Marine, les deux globes de chair blanche, les cuisses pleines, la motte intime recouverte de cette pilosité abondante et dont le centre s’ouvre sur deux lamelles boursouflées et brillantes. Les deux petites lèvres sont bordées de mèches folles collées les unes aux autres. Les cuisses écartées maintiennent la culotte enroulée autour des genoux de Marine. Cette dernière mord une de ses mains pour étouffer un cri qui aurait sûrement fait trembler les murs de la maison. Le caporal Karim vient de glisser une paume chaude entre les cuisses de la femme et ses doigts fébriles n’ont pas tardé à fouiller les chairs trempées. L’inventaire se déroule méticuleusement pendant de longues minutes. À titre de conclusion, le Noir enfonce avec douceur son majeur dans l’antre tapissé comme pour en sonder la profondeur. Marine ...
... émet un long grognement étouffé et se dandine en accentuant sa position cambrée. Le doigt est retiré. Robert, fou d’excitation, pousse son camarade pour saisir d’une main une des hanches de Marine. De l’autre, il présente sa queue à l’entrée du sexe de la mère de famille et fléchit légèrement les jambes. La tige blanche pénètre progressivement dans le ventre de Marine dont les cuisses tremblent de manière perceptible. Robert, une moue déformant son visage, empoigne les hanches de l’épouse de son chef et continue sa poussée. Les ongles de Marine griffent le bois précieux du tablier de la commode sous l’effet produit par la tige brûlante pénétrant son conduit intime. Une fois la queue entrée de toute sa longueur dans les entrailles de Marine, le caporal entame un mouvement de reins souple sur un rythme régulier afin de faire coulisser sa bite dans le fourreau offert. Le mouvement stoppe de temps en temps et Robert reste planté un instant, le bassin collé aux deux masses chaudes et rebondies. Le militaire mélange ses gémissements à ceux de Marine. Voulant marquer une pause, il passe ses bras sous le ventre de sa partenaire et s’allonge sur son dos pour se coller à elle. La femme sent le souffle brûlant du mâle sur sa nuque. — T’es tellement belle, tellement belle ! lui glisse le caporal dans une oreille, d’une voix grave et étouffée. Il reprend ensuite ses assauts en respirant bruyamment. L’accouplement se poursuit sur un rythme plus lent mais le caporal, incapable de maîtriser ...