1. Pensées pour moi-même (2)


    Datte: 10/05/2018, Catégories: fhh, vacances, hotel, hsoumis, fdomine, Oral journal,

    ... le tout également en moins de cinq minutes jusqu’au moment où je me suis enfin décidée une bonne fois pour toutes à l’enlever entièrement. * * * Waowh ! Les yeux de Jean-Philippe : même s’il avait plus ou moins deviné tout à l’heure, quand j’étais à ses pieds, que quelque chose se dissimulait encore sous ce chemisier, il ne s’était pas attendu néanmoins pas à voir apparaître… comment dire : à la fois mon corps et à la fois mon pas-corps : c’était certes les beaux gros seins qu’il avait imaginés tout à l’heure, c’était bien le sexe qu’il convoitait depuis si longtemps, il en voyait les mamelons, il en voyait le triangle pileux, mais tout cela était recouvert par une sorte de filet comme il en voyait probablement dans ses films préférés. Le caractère ambigu de la chose lui a quelque peu fait perdre le sens du rythme et j’en ai profité pour lui dire : — Arrête de te branler maintenant et viens plus près de moi. Chose qu’il fit sans montrer aucun signe de résistance ou de mécontentement : après tout, il approchait de la place forte, c’était encore en soi un grand progrès. Évidemment, quand je lui ai ordonné ensuite de s’agenouiller au bord du lit et de placer ses mains entre le matelas et le sommier, sans lui donner l’occasion de lancer de suite l’abordage, il n’a pas montré le même enthousiasme ; il s’est néanmoins placé devant moi comme je lui en avais intimé l’ordre, sans que j’aie besoin d’insister. Mais quand, après lui avoir pris la queue dans la main, après l’avoir branlée ...
    ... jusqu’à ce que son visage m’implore de lui permettre d’enfin poser les mains sur moi, j’ai barré le chemin de l’ambitieux en ajoutant : — Et maintenant, soulève le matelas. Et qu’immédiatement après j’ai également coincé la tête du pauvre Jack entre le matelas et le sommier, alors, j’ai vu, pour la première fois depuis qu’il avait accepté de revenir en cravate, j’ai vu, dis-je, l’oriflamme de la résistance se lever dans le regard de l’opprimé. Et puisqu’il en était encore temps mais que le répit ne pouvait plus être de très longue durée, j’ai entamé les ultimes opérations : tant pis pour les boutons en dessous des seins, il fallait désormais me hâter : j’ai donc ravalé mes ambitions initiales et me mettant debout, jambes écartées au-dessus de la tête de Jean-Philippe, j’ai détaché, un à un, en prenant juste le temps nécessaire, les cinq boutons qui maintenaient encore par le bas ce voile qui était tout sauf pudique. Ça y était enfin, le pont-levis était levé : là, sous moi, Jean-Philippe essayait d’appliquer sa bouche sur cette chose qui le fascinait, avide de goûter à ce fruit dont la vue lui avait été interdite et pour l’obtention duquel il avait dû se résoudre à tellement d’abnégations successives. Évidemment, je m’arrangeais pour qu’à chaque fois, l’échec de ces tentatives ne soit dû qu’à la présence d’un ou de deux centimètres. Et puis, je me suis mise en état de recevoir ce baiser galant dont moi aussi je rêvais depuis si longtemps. Il est toujours bon quand on raconte ...