1. Pensées pour moi-même (2)


    Datte: 10/05/2018, Catégories: fhh, vacances, hotel, hsoumis, fdomine, Oral journal,

    ... une histoire d’avoir sous la main une petite anecdote pittoresque. En tentant d’étouffer Jack sous le matelas, j’avais bien eu l’intention de frustrer son maître. Mais finalement il s’en est bien tiré : en fait, pendant que mes derniers défenseurs tombaient les uns après les autres, Jack, le bélier, s’entraînait pour sa part à défoncer les portes en dessous du matelas : oui, tu as bien compris : Jean-Philippe se branlait dans le matelas ! * * * Et puis, ce qui devait arriver arriva : Nous faisant 1789, brisant les chaînes de l’esclavage, celui qui fut soumis pendant une période millénaire entreprit de s’emparer du pouvoir. Celui qui était encore les genoux en terre lança ses premières divisions sur Versailles et toutes ses richesses : les mains de Jean-Philippe ne s’étaient pour le moment qu’emparé d’une partie somme toute dérisoire de mon territoire corporel mais il était clair qu’il gagnait rapidement du terrain et que son objectif à court terme serait la prise immédiate et impérative de la source principale de mon plaisir. Il avait la voie libre, mes troupes réputées fidèles, de toute évidence, m’avaient déjà abandonnée et j’allais être livrée sans défense à la soif de vengeance de celui dont les mains venaient maintenant d’atteindre mes cuisses. Il y eu néanmoins un répit : contrairement à mon attente, ces mains changèrent d’objectif et au lieu de s’emparer sur-le-champ de ce point de ralliement naturel, elles entamèrent un mouvement tournant pour monter plutôt à ...
    ... l’assaut de mes seins. Repousser ce stupide habit rouge au-dessus de ma poitrine et sous mon menton fut fait de façon tellement expéditive et avec tellement peu de délicatesse que j’estime que cela n’en vaut pas le peine de t’en parler, sauf à te dire que l’IPod et les oreillettes s’étaient décrochés, et que finalement cela n’avait plus d’importance, Jean-Philippe ayant, avec toute la sensibilité que je lui connaissais, privilégié depuis peu le recours aux profonds sons gutturaux (non sans de temps à autre revenir à l’occasion à l’un de ses expressions accoutumées). Et c’est après que ces deux magnifiques ornements de ma féminité eurent reçu l’hommage d’une bouche qui tenta de les y aspirer en entier l’un après l’autre, c’est quand je commençais à fondre sous une langue qui s’apprêtait à me faire franchir les barrières de l’au-delà vers l’infini, en s’engageant sur la route qui conduisait de mes seins à mon clitoris, avec détour obligé vers mon nombril, c’est à ce moment-là, d’une intensité prodigieuse, que la machine bien rôdée que j’avais eu tant de mal à mettre en place s’est mise à perdre une vis et à se déglinguer en un temps record. * * * Que veux-tu, même si je ne suis pas très forte en arithmétique, j’ai néanmoins appris à compter jusque cinq : or, deux mains, celles de Jean-Philippe, qui étaient figées sur mes deux seins ; une de mes mains qui caressait ses cheveux, l’autre qui se faisait mordiller par mes propres dents, et, enfin, une autre qui s’était introduit, en venant ...