Bourgeoise remplie au sperme (1)
Datte: 18/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Le seul inconvénient de mon appartement, c’était la propriétaire. J’étais en coloc avec mon pote Simon, à Angers, au quatrième étage d’un immeuble du centre-ville, non loin de la mairie. C’est lui qui avait eu le filon par un couple de cousins qui avaient occupé l’appart juste avant nous. Il était grand, lumineux, avec deux chambres, une vaste cuisine et une magnifique salle de bain. Le prix nous convenait. Le problème c’était la propriétaire. Elle possédait l’immeuble en entier et occupait le premier, le rez-de chaussée étant dévolu à des commerces et les autres étages étant occupés par des personnes âgées qu’on ne voyait jamais. Madame Marie-Clotilde X.... était bien souvent seule, son mari travaillant pour une grosse multinationale était souvent en déplacement. Elle jouait parfaitement à la bourgeoise. Elle devait avoir entre quarante et cinquante ans mais elle en paraissait plus, se vieillissant à loisir par des tenues strictes, souvent des tailleurs, des lunettes aux montures noires d’un classique désespérant, les cheveux toujours impeccablement tirés en arrière et noués en un petit chignon, un maquillage léger mais sans fantaisie, un port hiératique et une allure quotidienne de reine offensée. Elle avait en effet toujours un air pincé et condescendant, nous snobant de toute sa hauteur car elle était grande. Elle eut été belle sans ce côté hautain affirmé. Soyons justes, belle, elle l’était vraiment, mais d’une beauté glacée, froide, distante, à faire peur. On devinait ...
... un magnifique petit cul sous se s jupes parfois trop serrées qui laissaient voir la marque des fines culottes. Elle avait de gros seins que l’on supposait fermes et ronds sous ses chemisiers tendus et ses colliers d’or ,d’argent ou de perles, selon les circonstances. Même pour un mec de vingt ans, elle aurait été bandante si elle avait su employer son charme. Non. Au lieu de cela, elle était odieuse. Simon la voyait très peu, ses horaires étant souvent décalés, alors que moi je la croisais tout le temps, en partant en cours, en revenant, en sortant, en allant au club de muscu et, même si je revenais tardivement après une séance de ciné ou après avoir pris un pot avenue Foch, elle était encore là, comme si elle assurait elle-même la fonction de concierge qu’elle devait pourtant considérer comme bien en dessous de sa condition supérieure de femme du monde. Je me pique d’être bien élevé et d’être attentif aux plus petites marques de courtoisie, aussi ne manquais-je jamais l’occasion de la saluer ou de lui montrer les marques de la plus extrême déférence. : "Bonsoir Madame, bonjour Madame, pardon Madame, merci Madame..." Pour toute réponse, elle n’avait que des paroles désagréables. "Dites-donc jeune homme, vous pourriez faire moins de bruit en montant l’escalier. On n’entend que vous dans cette immeuble.... Dites-donc jeune homme, vous pourriez mieux nouer vos sacs de déchets ménagers. Je ne tiens pas à ce que vous empuantissiez toute ma maison... Dites-donc jeune homme, vous ...