Bourgeoise remplie au sperme (1)
Datte: 18/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... la croiser, rentrant plus tôt, partant plus tard... Bref, j"avais peur. Et puis il y eut ce jeudi soir. Le jeudi soir, Madame allait jouer au bridge chez des amis et rentrait nuitamment. J’en profitai souvent, avec Simon, pour recevoir des amis. Ce soir là, pour me faire un peu d’argent de poche, j’avais accepté la proposition de Florian. Il avait un pote qui suivait des études de commerce et qui, pour valider son diplôme devait créer une petite société de vente. Ce copain, Gurvan, avait choisi de vendre des dessous masculins, slips, boxers, strings, jockstraps, débardeurs et stringers (ces grands débardeurs très ouverts qui cachent à peine les tétons). Gurvan avait besoin de mannequin pour porter ses vêtements. Il payait, peu, mais enfin il payait et c’était déjà ça. Mon appartement étant grand, on pouvait le transformer en studio photographique, surtout ma piaule. Que nous soyons modèles, Florian et moi, allait de soi compte tenu de notre pratique de la musculation. Gurvan, plutôt beau gosse pouvait poser aussi et, pour faire bonne mesure, nous avions ramené un autre copain de muscu, Vladimir, un géant slave un peu plus âgé que nous. J’épiais le départ de la mégère. Quand je vis la Jaguar sortir de la cour, j’envoyais un texto aux potes. Il était vingt heures. "C’est cool de nous recevoir Jean. T’es sûr que ça va pas te poser de problèmes" ? - T’inquiète. Mon coloc est en stage et mon infecte proprio est parti. On a jusqu’à minuit. Si on est bien organisé, çà va le faire. ...
... J’avais déjà dégagé tout un mur, poussé mon lit dans un coin, enlevé les posters... Pas de chichi entre nous. Il fallait essayer des dizaines de modèles. Nous fumes tous à poil en moins de cinq minutes. Pendant qu’un mec posait, un autre se préparait et on enfilait les clichés autant que les slips ou les strings. La chaleur des spots de Gurvan, la présence dans la chambre de quatre mecs à poils qui s’agitaient en enfilant ou en enlevant des fringues, l’agitation égrillarde nos nudités provoquait, les rires et les plaisanteries gauloises qui en découlaient, tout concourait, au propre comme au figuré, à faire monter la température. La douceur angevine était déjà perceptible en ce début de printemps. J’entrouvris la fenêtre. Nos rires et nos discussions m’empêchèrent sans doute d’entendre la Jaguar revenir dans la cour, plus tôt que prévu... bien plus tôt. Pour une raison que j’ignore, il n’y eut pas bridge ce soir là. En sortant de sa voiture, la connasse dut entendre nos rires. Elle dut lever les yeux, voir de la lumière à ma fenêtre dans le soir qui tombait. Elle entreprit de venir passer ses nerfs sur moi. Elle monta, ne prit pas la peine de sonner, entra dans l’appartement, et se précipita dans la chambre où elle entra comme une furie. A ce moment, j’étais devant l’objectif, avec un jockstrap, tendant mon cul pour l’immortaliser. Gurvan était nu, Vladimir passait un slip et Florian était en stringer. Les fines bretelles dégageaient ses épaules volumineuses, ses pectoraux ...