La cave - Histoires de Sexe

La cave

... participer à une réunion, aller manger au resto, sans que personne ne soupçonne sa quasi-nudité sous ses vêtements. Enfin, personne, sauf une : sa collègue Geneviève, lorsque celle-ci vient l’entretenir d’un sujet technique qui la préoccupe et lui demander son avis dans son bureau. Estelle est assise sur son fauteuil en cuir, les jambes croisées, un peu éloignée du bureau, écoutant d’une oreille distraite sa collègue, qu’elle observe soudain avec intérêt. Elle est vêtue d’une jupe droite, assez courte, d’escarpins, d’un polo beige très fin, assez décolleté, qui laisse voir la naissance d’une petite poitrine ferme, et surtout la forme de ses tétons. J’ai l’impression qu’elle ne porte pas de soutif ! C’est la première fois qu’elle observe sa collègue avec autant d’attention. Elle remarque au bout d’un moment que celle-ci n’arrête pas de regarder ses jambes. Soudain, une idée lui traverse la tête : elle va la tester. Elle décroise lentement ses jambes, et pendant un long moment, les maintient légèrement écartées tout en se lançant dans un long discours. Ce qu’elle attendait arrive rapidement : Geneviève est devenue rouge et balbutie quelques mots, se ressaisit, regarde ailleurs, termine ses phrases tant bien que mal, puis se lève en prétextant un appel téléphonique. Machinalement, elle baisse la tête pour observer son entrejambe : sa jupe est carrément remontée au niveau du sexe, et son collant ne cache absolument rien de sa toison noire ni de ses lèvres humides ! Estelle sourit ...

... : En voilà une qui va me prendre pour une vraie salope ! J’espère au moins que ça l’a excitée ! Le lendemain, elle passe directement à la dernière étape : jupe nettement plus courte, et bas noirs avec des bottes. En arrivant, elle fonce directement voir Béatrice, impatiente. Une fois localisée dans un couloir, elle soulève discrètement sa jupe pour lui dévoiler sa chatte sans aucune pudeur. — Je suis sortie de chez moi comme ça ! Si tu savais comme c’est excitant !— Je te l’avais dit, ma chérie. Une fois qu’on l’a fait, on y prend goût. Mais j’avoue que toi, tu vas vite pour apprendre !— Tu m’as trop excitée avec tes histoires, j’ai repris du poil de la bête, niveau sexe. D’ailleurs, à ce sujet, j’ai pas mal gambergé ces derniers temps, j’ai quelque chose à te demander.— Je t’écoute.— Pas maintenant, je dois y aller. On se retrouve à la pause ?— OK, comme tu veux. Elle passe deux heures dans son bureau, en essayant de se concentrer sur son travail, mais avec une main s’égarant souvent sous sa jupe, provoquant à chaque fois un trouble au contact de sa toison à l’air libre. À l’heure de la pause, elle retrouve sa copine comme convenu : — Tu avais quelque chose d’important à me dire, je suis impatiente !— Oui, je voulais t’avouer que tes histoires de cul dans la cave commencent à m’exciter sérieusement, je suis un peu jalouse de toi. D’ailleurs, je pense que je peux compter sur ta discrétion si je te confesse quelque chose ?— Bien sûr, ma chérie.— J’y pense souvent le soir dans ...