La cave
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
Collègues / Travail
hépilé,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
rasage,
Oral
préservati,
fdanus,
hdanus,
jeu,
init,
poils,
... mon lit, toute nue !— Tu te caresses en pensant à nous, petite salope ? Toi, je te vois venir !— OK, c’est vrai que je me sens en manque, surtout que tu as remis du sel dans ma sexualité, et c’est le calme plat côté cul. Alors j’ai flashé sur un fantasme. Silence. — Oui ?— J’aimerais… Elle hésite, embarrassée. — J’aimerais avoir moi aussi une expérience à la cave. Béatrice ouvre des grands yeux. — À trois ? Elle aurait aimé lui avouer que c’est effectivement une scène à trois qui occupe ses pensées le soir dans son lit, mais elle a peur de la choquer. — Lui et moi. Et elle rajoute : — Dans un premier temps. Ne précipitons pas les événements !— Pourquoi pas ? Moi aussi, ça peut m’exciter si tu me racontes tout.— Je voudrais que ça se fasse sans qu’il me voie.— Comment ça, sans qu’il te voie ? Tu veux dire qu’il ait les yeux bandés ?— Exact. Je veux un plan cul avec lui, sans qu’il sache qui je suis.— Mmmmh, coquine ! Pas mal trouvé pour une nana coincée.— Mais je suis moins coincée que tu ne crois, c’est juste que j’ai eu un passage à vide ces derniers temps ! Ça peut aller beaucoup mieux, grâce à toi. T’es d’accord pour lui faire passer le message ?— OK, compte sur moi. Et surtout, je serais la première ravie que tu prennes ton pied.— Autre chose : j’aimerais que tu sois discrètement présente, sans qu’il le sache.— Ouaouuuh ! En plus je vais faire la voyeuse ? D’accord, ça me plaît, ça m’excite, même, je ferai tout ce que tu voudras.— Merci, je t’adore. Elle lui prend la ...
... tête entre les mains et lui plaque un baiser sur la joue. Machinalement, Béatrice se rapproche de son amie et pose une main sur ses fesses, se rappelle qu’elle ne porte rien dessous : — Mmmmh, j’avais oublié que tu ne portais pas de culotte !— Je suis à bonne école ! Le jour même, Béatrice guette Jean-Michel et le rejoint dès le retour de son footing, impatiente. Elle le trouve allongé par terre, nu, faisant ses abdos. Elle lui propose de lui faire sa toilette, ce qu’il accepte sans mal. Elle met une telle tendresse dans ce qu’elle lui fait qu’il s’en étonne : — Tu es bien câline, aujourd’hui !— J’ai un truc à te demander.— Dis-moi.— J’ai d’abord quelque chose à t’avouer. J’ai une amie à qui je raconte tout ce qu’on fait.— Tout ?— Je ne lui ai rien caché. Elle te connaît à travers tous mes récits. Je lui ai même montré tes photos.— Même celles où je suis en érection ?— Surtout celles-là ! Elle te trouve bien gaulé !— Ouaouh ! Je la connais ? C’est pas cette fille avec qui tu discutes souvent à la machine à café ? Béatrice sursaute, puis se rattrape : — Non, elle ne travaille pas ici.— Alors ?— Alors, elle aimerait bien… disons… mieux te voir, de plus près, en vrai, autrement qu’en photo !— Tu m’intéresses ! Tu en as trop dit ou pas assez.— Elle aimerait toucher !— … !— Si tu acceptes, elle y met une condition.— Laquelle ?— Que tu l’attendes ici, nu, les yeux bandés— Les yeux bandés ? Ouaah ! Ça devient torride ! C’est du marquis de Sade !— Elle ne veut pas que tu connaisses son ...