L'histoire de Marie Christine (5)
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
Erotique,
Fin janvier, mon maître reçut la réponse tant espérée. J’étais retenue pour le concours. Il était aux anges. Pour me récompenser, il prit rendez-vous pour moi chez mon tatoueur préféré. Ce dernier posa, non pas sur mais dans mes grandes lèvres, de petits œillets d’argent, quatre de chaque côté. Mon maître pouvait désormais, à sa guise, fermer mon sexe en glissant une chaîne, tel un lacet, à l’intérieur des orifices que le tatoueur avait pratiqués. L’invitation officielle arriva un peu plus tard. C’est à la date du printemps que le concours était programmé, sur deux jours, dans une ancienne abbaye louée à cet effet. Le premier jour auraient lieu les épreuves de beauté et les candidates restantes seraient ensuite départagées le lendemain, lors de quatre épreuves de travail. Suivaient les détails du règlement concernant l’organisation générale et les conditions particulières de cet événement. Par exemple, le public serait composé uniquement de l’ensemble des maîtres de la communauté. Aucune soumise non sélectionné n’était invité. Le jury, tiré au sort, comportait 5 membres et pour la première fois une maîtresse en faisait partie. Il restait 7 semaines pour me préparer, avant la date fatidique. Mon maître me fit injecter du Botox, dans les lèvres, celles de ma bouche mais aussi légèrement dans celles de mon sexe, également dans mes fesses pour les raffermir. Je n’en avais pas franchement besoin, mais il ne voulait négliger aucun détail. J’étais au régime et affichait 48 ...
... kilos sur la balance. Mes côtes commençaient à saillir sous la peau, mettant encore plus en valeur ma poitrine avantageuse, mon ventre était parfaitement plat et ma taille on ne peut plus fine. Enfin, je dus prendre quelques jours de congé au travail pour la réalisation de mon dernier tatouage. C’était un travail très complexe et minutieux. Seules les Geishas portaient ce genre d’ornement . Au bout de longues séances, je me retrouvai hôte d’un dragon coloré et grimaçant serpentant définitivement de mes épaules à mes reins. Ce fut fort long, mais le résultat était superbe. J’avais laissé pousser mes cheveux et les fit teindre couleur jais puis couper au carré la veille du départ, ce qui fit un rappel asiatique avec le magnifique serpent qui arpentait mon dos. J’étais parée avec un peu d’appréhension au fond de la gorge. Je ne voulais à aucun prix décevoir mon maître, après tous les efforts qu’il avait réalisés pour moi. Le lieu était classé, isolé dans les garrigues méditerranéennes. L’abbaye datait du douzième siècle et avait été patiemment restaurée. L’ancien monastère adjacent était lui reconverti en hôtel de luxe. Il y avait pas mal de monde à la réception, des maîtres seuls ou avec leur soumise. Une fois enregistrés nous prîmes quelques moments de répit avant le premier rendez vous de la journée qui était prévu pour 10 heures dans l’abbaye. J’en profitais pour prendre une douche et vérifier ma présentation. Les soumises rentraient par la sacristie, tandis que les maîtres ...