1. L'histoire de Marie Christine (5)


    Datte: 10/05/2018, Catégories: Erotique,

    ... courte. Demain, il y avait les épreuves de travail et il fallait être en forme. La plastique n’était plus de mise. Les compteurs étaient remis à zéro. Les épreuves de travail consacreraient la soumise la plus valeureuse, la plus investie dans son corps, dans sa mission. La disposition de salle avait été modifiée depuis la veille. Au centre se tenait un grand ring où les soumises devaient chacune passer les quatre épreuves à la suite. Une croix de bois y était dressée, de même qu’un pilori. Enfin s’y trouvait une poutre de gymnastique sur laquelle était fixée une série de godes de tailles différentes. J’étais la quatrième en terme de passage. Nous attendions dans la sacristie. Ce fut assez long. Les trois filles qui me précédaient revinrent l’une après l’autre, un peignoir sur les épaules, en sueur, la mine défaite, rougie par les larmes. L’un d’entre elles, la jeune russe sanglotait sans pouvoir s’arrêter. Mon tour arriva. Le maître de cérémonie me guida tout d’abord face au jury. Il me fit placer dans la position d’attente de la soumise debout, puis attrapa une boite dans laquelle se trouvait différents poids. Il plaça un crochet en S dans chacun des anneaux de mes tétons et mon sexe. Je reçus initialement 50 grammes de plomb par téton et 100 grammes pour chacune de mes grandes lèvres. Je dus m’accroupir, les mains toujours derrière la nuque, puis me redresser. Il rajouta quatre plombs de 50 grammes. Mes auréoles se tendirent et mes lèvres dépassaient maintenant de tris ...
    ... centimètres de ma vulve. La séance continua jusqu’à 500 grammes par sein et un kilo et demi par grande lèvre. De peur que mes chairs ne se déchirent, je lui fis signe de s’en tenir là. Le public applaudit. Je passai à la deuxième épreuve, celle de la poutre. Une fois réglée à la hauteur de mon entrecuisse je m’avançai à califourchon, mes mains toujours derrière la tête vers le premier des dix godes, tous de taille identique mais de diamètres de plus en plus larges.. Je me hissai sur la pointe des pieds. Je me laissai redescendre les cuisse bien ouvertes sur le gland de caoutchouc, dés que je le sentis à la verticale de mon vagin. L’objet fortement lubrifié rentra sans peine jusqu’à ce que mon entrecuisse touche la poutre. C’est à ce moment là que le mouvement était validé. Tout se passa bien jusqu’au numéro 6. A partir de là, les bites artificielles n’étaient plus graissées. La taille était déjà plus que raisonnable et il me fallut redoubler d’efforts pour que ma cavité accepte ce phallus. xvnxddmr Je lorgnais sur ce qui m’attendait et compris que la suite serait difficile. Le reste de corps gras au fond de mon vagin me permit malgré tout de venir à bout du septième. Je restais là embrochée cherchant une solution. Elle me vint. Je me dégageai lentement pour ne pas risquer de déchirer ma matrice et, arrivée devant le huitième gode, je crachais abondamment dessus, bavant autant qu’il m’était possible afin de le rendre glissant. Ce stratagème me permit de franchir l’obstacle. Au ...
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