Elle et Elle (7)
Datte: 18/07/2017,
Catégories:
Lesbienne
... d’expérience, je commençai, sans doute un peu trop timidement, à lécher sa chatte de bas en haut et de haut en bas, lentement, m’attardant sur les endroits qui me donnaient le plus de plaisir quand les rôles étaient inversés. Mes baisers et mes cajoleries avaient pour le moment toute la maladresse et la fragilité des expériences d’une collégienne morte de peur. Sous le contact déluré de ma langue, le clitoris de mon petit ange était passé du rose tendre à une teinte de plus en plus foncée. Parfois je cessais d’en lécher le pourtour afin d’en régaler la pointe de quelques frottements furtifs. Puis je buvai de grandes gorgées du délicieux venin de femme à la saveur poivrée qui s’écoulait généreusement de l’intimité de Laetitia. Je perdis peu à peu le fil des caresses exactes, du parcours précis de ma bouche dans son sexe. Tout s’emballa. J’étais, après tout, en train de la faire jouir avec la langue et c’est tout ce qui comptait. Laetitia sourit, les yeux fermés, savourant les sensations que je lui procurais, se mordillant la lèvre avec les dents, puis, ravie, la bouche entrouverte, elle commença à gémir. Entendre ce son était encore plus magnifique pour moi que ne l’avait été le moment où j’avais senti sa langue en moi. J’étais bouleversée de lui donner du plaisir. Je vivais un profond moment de bonheur. Et côté cul c’était fabuleux aussi. Les muscles de ses cuisses étaient parcourus de spasmes, de tensions soudaines de part et d’autre de mon visage. Et à chaque cadence, ...
... désormais, ma copine gémissait. J’étais si excitée que j’agrippai son cul des deux mains et que je plongeai toute entière en elle, tout au fond, encore et encore. Dévorante. Elle accueillit mon initiative d’un cri de jeune fille, un cri de plaisir. J’aimais la baiser, cette demoiselle extraordinaire, j’aimais qu’elle soit à moi, ma petite friandise exclusive. Elle, à son tour, rendue folle par mes caresses, elle se mit à murmurer des choses vraiment obscènes : « Putain Laure… Petite gouine… Oh tu sais que tu me mets le feu, espèce de petite catin ?… » nfgnyytu J’aimais entendre ces mots sortir de la bouche virginale et candide de Laetitia. Le plaisir la rendait louve et libertine. D’ailleurs, ça me fit rire intérieurement de découvrir que ma copine et moi avions la même tendance à débiter des cochonneries quand nous étions excitées… Et ses mots crûs ne firent qu’aiguiser mon appétit pour elle. C’était comme elle l’avait dit : nous partagions de la douceur, de la tendresse, de l’amour, mais également des sensations plus sauvages, plus sales, plus brutales. Les cris de mon amoureuse, ces chapelets de mots pervers qu’elle me lâchait, tout cela était le signe que son plaisir n’était pas loin d’atteindre son paroxysme. Je le lis sur son visage, figé dans une expression de délectation suprême. Lorsqu’elle se tut, lorsque même ses halètements s’étranglèrent, je compris que je venais de la mener aux portes de l’orgasme. Son corps se souleva vivement quand elle jouit, sa gorge déchirée par ...