Même pas cap' - Histoires de Sexe

Même pas cap'

... découvertes, affalées les unes sur les autres, visiblement épuisées, le visage et le corps rayonnants de plaisir. Elles étaient vraiment magnifiques, et nous sommes restés de longs moments immobiles, le membre dressé, à les observer avec admiration. Puis, nous nous sommes concertés avant qu’ils ne me demandent d’annoncer notre verdict. — Mesdames, vos cons sont tous plus accueillants les uns que les autres, mais chacun recèle des mystères à nul autre pareil. C’est le tien Véro, qui le premier est venu me rendre visite. Charnu comme un abricot, il a délicieusement enserré mon membre dans ses lèvres joufflues et, grâce à tes voluptueux mouvements de hanches, il m’a rapidement conduit au paradis. La jeune fille s’est mise à rougir délicieusement en m’entendant décrire cette adorable petite chatte qu’elle m’avait permis de visiter quelques minutes plus tôt. J’ai complété mon récit en décrivant longuement le con de chacune des quatre autres jeunes femmes, m’extasiant sur la fournaise de Julie, sur le boyau étroit et doux de Nina, sur la vaste caverne trempée de Sylvie. — Quant à la dernière, c’était sans aucun doute, la chatte pleureuse de Maud, qui m’a inondé l’entrejambe dès qu’elle a frôlé mon gland. On a tous éclaté de rire et les filles ont dû reconnaître que nous avions remporté l’épreuve haut la main, devinant parfaitement l’ordre des cinq chattes accueillantes qui étaient venues nous rendre visite. — À votre tour mesdames. Je vous propose d’aller vous agenouiller côte à ...

... côte sur le divan, la tête appuyée sur le dossier et la croupe dressée ! On va voir si vous êtes aussi fortes que nous pour deviner « qui vient dîner ce soir » ! Quelques instants plus tard, nous contemplions avec admiration cinq paires des fesses, fièrement dressées et sous lesquelles brillaient les chairs frémissantes d’autant de jolies chattes. Question cul, ceux de Julie et de Maud étaient incontestablement les plus élégants, avec leurs rondeurs parfaites, généreuses et fermes à la fois. Celui de Véro était plus opulent, mais sa jeunesse lui donnait un caractère pétillant et particulièrement attirant. Celui de Nina avait une rondeur presqu’enfantine, qui donnait envie de le croquer. Quant à celui de Sylvie il était, plutôt menu, rond et musclé, comme le cul d’un jeune éphèbe grec. Et le défilé a repris. Cette fois les filles n’ont pas retenu leurs vocalises, allant jusqu’à nous encourager nommément lorsqu’elles reconnaissaient le pilon dressé qui venait leur visiter le con. Elles ont joui plusieurs fois avant que le dernier d’entre nous ne termine son parcours. Mais leurs jouissances répétées ne les ont pas empêchées de reconnaître chacune des cinq queues avant même la fin de l’épreuve. — Décidément, vous êtes trop fortes, je ne vois qu’une dernière épreuve pour nous départager. Surtout ne bougez pas Mesdames. Tandis que les jeunes femmes reprenaient leur souffle, le cul dressé et le con brillant des fruits de leur jouissance, j’ai fait signe aux garçons de venir se placer ...