Chienne d'autoroute - Histoires de Sexe

Chienne d'autoroute

Vendredi soir, j’ai répondu sur mon portable :– Bonsoir, dit la voix d’un homme avec l’accent allemand. C’est Werner, je veux parler à Laika.– C’est moi Laika, répondis-je.– Je suis Werner. Je suis chauffeur poids lourd. J’ai vu ton numéro sur le mur des chiottes. Je suis sur le parking de l’autoroute.Un silence se passe. Puis le gars enchaîne :– Viens ici sucer ma bite, espèce de pute !Je lui réponds :– Je ne suis pas prête. Il me faut 1 heure.– Ok, salope ! Pas de soucis pour moi. Je dois rester là toute la nuit et j’ai envie que tu me suces salope et vide mes couilles pour passer une bonne nuit de sommeil. Et si tu acceptes mon sperme dans ta gueule, tu reçois 200 Fr. Même pas besoin d’avaler, je veux juste d’asperger !Mmmmh ! Le type est chaud comme la braise et ça m’excite. En plus, je ne crache pas sur 200 Fr.– Oui, vraiment bouge ta gueule, putain, je suis sous pression, et mets quelque chose de cool, tu m’entends ?La tentation de sucer une bite de ce camionneur et d’obtenir de l’argent était trop grande, alors je me suis préparée. J’ai mis des bas nylon, un porte-jarretelles, un pull transparent, un string rouge ouvert, de longs gants noirs, un serre-taille en latex, ma jupe en cuir, une cagoule noire et des sandales à talons. J’ai maquillé ma bouche en rouge vulgaire et je me suis déplacé vers le parking d’autoroute. Arrivée sur l’aire de repos de l’autoroute qui était désert, j’ai vu que le grand camion de Werner était là. Au bout du parking, parqué sous un ...

... réverbère. Alors j’ai enfilé ma cagoule, un collier de chienne rouge et je me suis dirigée vers le camion, la chatte anale trempée. Le rideau de la cabine du côté du volant était fermé, alors j’ai fait le tour. Il a entendu mes talons claquer sur le sol, car il a ouvert la fenêtre et m’a regardé d’un air arrogant.– T’es une bonne pute. Déplace-toi un peu, sous le réverbère, que je vois à quoi tu ressembles, salope !Je me suis exécutée. Il m’a ordonné depuis la cabine à me retourner, me pencher en avant, montrer ma chatte anale. Il m’a ordonné de me retourner et lui montrer mon clito.Le parking n’était heureusement pas fréquenté, il était passé minuit.Après m’avoir forcée à m’exhiber dans plusieurs positions indécentes, il est descendu de sa cabine pour me rejoindre.Le type était plutôt âgé, plutôt gros, il avait déjà sa bite raide dans la main et était sur le point de se branler.– Bonjour, Werner, je suis ta chienne pour te vider les couilles, dis-je. Tu as une très belle queue et je veux le sucer.– Ta gueule salope ! répondit Werner. À genou salope !Je me mis à genou. Werner m’attrapa fermement la tête et me dit :« Tu ne parles pas ! »Il m’attira la tête contre sa queue. Et me laissa goûter sa belle queue avec ma bouche humide et maquillée. Et puis il a poussé ma tête lentement jusqu’à ce que ma bouche enfourne son membre épais et succulent.Werner était expérimenté et m’a démonté la bouche avec sa bite dure sans jouir. Pendant de longues minutes, il a limé ma bouche très lentement, ...