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Chienne d'autoroute
Datte: 18/07/2017, Catégories: Anal Transexuels Partouze / Groupe
... puis plus vite et à nouveau plus lentement. Il s’enfonçait parfois très profond et me gardait la tête contre sa queue pendant quelques secondes. Ma salive dégoulinait de ma bouche. À deux doigts d’étouffer.– Alors petite pute, tu aimes ma queue ! tu aimes la sentir dans ta bouche de chiennasse !Il me baisait maintenant la bouche avec sa bite dure et brutale. Ses couilles frappaient mon menton. J’avais de la peine à suivre son énergie et les larmes me coulaient. Il avait vraiment envie de me défoncer la bouche à grands coups de reins.Puis sans doute avant d’exploser dans ma bouche. Il s’est retiré. Il s’est penché en avant pendant que je reprenais mon souffle, puis il m’a mis direct ses deux premiers, puis trois doigts dans mon trou du cul serré. Puis il a commencé à écarter mes entrailles. Je pensais que c’était un peu bizarre, parce que je devrais juste le sucer à la base. Mais ma chatte mouillait de plaisir. Ses doigts perforaient mon trou en écartant les doigts comme s’il s’agissait d’un spéculum. Ça semblait plaire à Werner.Il grognait de plaisir et ma bouche était toujours inondée de ma salive. La bouche toute gluante. Je pense qu’il avait déjà un peu lâché le liquide pré-éjaculatoire dans ma gorge, car j’avais le goût du foutre dans mon cou et la senteur de sa semence sur mes lèvres.Pendant qu’il s’amusait encore avec ma chatte, j’ai commencé à lui lécher ses couilles en cambrant encore plus mon cul. Comme une salope soumise.Soudain, j’ai entendu une porte de voiture ...
... se refermer et quelqu’un venir vers nous.– Bouge pas sale pute ! M’ordonna Werner en gardant ses trois doigts enfoncés dans mon anus dilaté et trempé.J’ai senti le nouveau type arrivé dans mon dos. Je n’étais pas tranquille. Werner lui a dit : « Salut ! ». L’autre a dû répondre d’un signe de la main, car je ne l’ai pas entendu.– Si tu veux profiter de cette putain, tu peux y aller. Elle est bonne. Dis Werner !Alors le type que je ne voyais pas s’est penché derrière mon cul et m’a attrapé les couilles, puis mon clito qu’il a tirés vers l’arrière.Werner continuait à me torturer le trou du cul. Je voulais enlever les mains du nouveau type, mais Werner sortit ses doigts de ma chatte brutalement et attrapa à nouveau ma tête cagoulée et se remit à me baiser la bouche rapidement et profondément.À quatre pattes. Cambrée en arrière, la bouche encombrée par l’engin de Werner, j’étais à la merci du type qui malaxait mes couilles et tirait de plus en plus fort sur ma queue. Puis l’homme derrière moi a dit quelque chose que je n’ai pas compris. Werner a ri.– Enfile une capote si tu veux baiser cette traînée ! C’est une vide-couille comme j’en ai rarement vu. Un vrai garage à bites.J’avais compris. Le type lui avait demandé l’autorisation de me baiser la chatte. Je n’ai pas eu le temps de pleurnicher. J’ai entendu que le type derrière moi crachait sur mon anus pour le lubrifier. Puis il m’enfila d’un seul coup et profondément. J’ai eu un peu mal, mais Werner m’avait bien préparé mon trou de ...