1. Berlin, son histoire, ses vices


    Datte: 12/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Chapitre 8 : Moi, directrice, soumise et dominatrice vicieuse. Après ces quelques jours de tournage, le retour dans mon bureau est un peu plus douloureux que d’habitude. Isabelle me fait parvenir une lettre de démission, celle d’une des deux employées du bureau des plaintes. Je la convoque aussitôt afin d’en comprendre les raisons. Devant moi, assise, elle s’effondre en larme. C’est à peine si elle parvient à me faire comprendre que son mari l’a quittée pour une autre, l’enculer ! Ne voulant pas la perdre à cause de ses compétences, je cherche une solution. Ben c’est qu’elle a une fille de six ans sur les bras, un grand appartement aussi. C’est d’Isabelle que la solution me parvient. - Bien, écoute Marion. J’ai des solutions qui devrait t’arranger. La première, tu gardes ton logement. La seconde concerne ta fille. Il y a, près d’ici, Isabelle s’est renseignée, une garderie et une école privée. Alors voilà ce que je te propose. Tu garde ton appart, tu mets ta fille dans cette école, l’entreprise prend en charge son écolage ainsi que les frais de garderie. Cela peut te convenir, ma douce Marion ? - Je crois que oui, mademoiselle Aroa. - Merveilleux alors. Pour l’école, Isabelle se charge de la lettre, ma chérie. Idem pour la garderie. Maintenant, veux-tu sécher tes larmes, ma belle. Cela me rend triste de te savoir en peine. - Mais pourquoi tant d’attention ? - Parce que je ne suis pas un monstre. Si je ne suis pas mariée au sens ou toi, tu l’entends, j’aime plusieurs ...
    ... personnes. Je sais ce que veux dire séparation, crois-moi. Mon Maître… Zut, mon amant n’est pas toujours auprès de moi. - Votre Maître ? Est-ce à dire que vous êtes une esclave ? - Comme tu y vas, non, juste une soumise qui aime parfois à se faire rudoyer, à obéir sans réfléchir, tu comprends ? Non, ce n’est pas grave, un de ces jours, quand tu iras mieux, nous pourrions en reparler, toi et moi. Enfin, si tu le désires. - Je veux bien, Mademoiselle. Sachez que je vous estime bien plus que vous ne le pensez et ce depuis mon arrivée. - Alors sache que c’est réciproque sinon, je t’aurais laisser partir sans même te retenir. Je ne peux pas dire cela de tous les collaborateurs. Oh, Isabelle, tiens, j’ai reçu cette lettre de notre ancien boss. Hum oui, Marion, sache encore une chose. Si tu venais à me décevoir, la première fois, cela ne sera qu’une réprimande. Mais à la seconde, tu vois cette cravache derrière moi ? Et bien elle pourrait bien s’abattre sur ton popotin, ma belle. Est-ce bien clair dans ton esprit, ma douce secrétaire du bureau des pleures ? - Parfaitement clair, Mademoiselle Aroa. - Bien, file et si tu as le moindre souci, sache que mon bureau n’est jamais fermé. - Je prends bonne note, Mademoiselle. Encore mille mercis pour ce que vous faites pour moi et mon trésor. - De rien, ma belle, file maintenant. Isabelle, juste après le départ de Marion, se penche sur moi, m’embrasse tendrement. - Tu sais quoi, je me suis trouvée une merveilleuse Maîtresse. De plus… non, chut mon ...
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