Berlin, son histoire, ses vices
Datte: 12/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... amour pervers, je dois parler. Cette dominatrice connait ton amour de Maîtresse. C’est même elle qui me l’a conseillé. Oui, je sais, je mérite une douloureuse séance avec notre cravache. Ne t’inquiète de rien, ma douce, avant que l’été ne s’installe, tu pourras me punir aussi sévèrement que tu le voudras. Depuis trois jours, je suis à elle et, tout comme avec toi. J’en suis amoureuse autant que je le suis de toi. Elle n’est pas encore aussi sévère que ta belle Maîtresse. Cela dit, je lui ai fait part de mon désir d’aller jusqu’au bout et même au-delà. Oui, ma belle, je veux ne plus être que ton égale. Même Maître Heinz est d’accord pour me prendre dans ses films et avec l’accord de ma Maîtresse. Maintenant, si tu veux me punir pour mes cachoteries, je t’en supplie à genou, sois la plus vache des dominatrices avec mon cul et mes seins que je t’offre. - Ce que tu me dis, me réjouit le cœur. Je savais que tu te cherchais une belle domina. Je le sais parce que je t’ai vue au Plaisir des Femmes. Maîtresse Clélia sera te guider, je la sais aussi très sévère quand tu ne comporte pas comme elle le désire. Maintenant, pour ce qui est de te punir, j’ai bien ma petite idée et elle est vicieuse. Mets-toi en position, ma chérie, je vais te punir. Donne-moi tes mimines que je t’attache dans ton dos et penche-toi bien sur mon bureau. Là, comme ça et tu ne bouge plus. Je profite de sa position pour abaisser son legging. Sans une culotte, Isabelle me facilite grandement la chose. Aussi, ...
... vicieuse à souhait, je fais revenir Marion dans mon bureau. Je lui demande expressément de ne pas frapper et d’entrer sans autre. J’ai juste le temps de prendre la cravache et de commencer à fouetter Isabelle que Marion pénètre déjà dans mon bureau. Là, stupéfaite, je suis obligée de lui ordonner de fermer la porte et de se mettre près de moi. Sans arrêter de fustiger ce magnifique postérieur, je ne cesse de fixer Marion. Mon côté vampe vient de reprendre le dessus. Et pire encore, Mademoiselle peut tout entendre, je l’ai appelée et le combiné est posé près de moi. Elle peut entendre les claquements de la cravache sur le cul d’Isabelle. De ma main libre, je prends celle de Marion que je pose sur le dos d’Isabelle. Puis, l’attirant tout contre moi, je m’empare de sa bouche qui s’ouvre sans que je n’ai besoin de la forcer. - Tu vois, je savais ce que tu es au fond de toi. Rien de plus qu’une salope comme elle et moi. Oui, j’ai un Maître, mais j’ai aussi une Maîtresse, tout comme Isabelle. Et tu sais quoi, ma Maîtresse, elle nous écoute en ce moment même. Ma chérie, depuis que tu es arrivée, je rêve de t’avoir tout contre moi, de t’embrasser, de faire de toi une salope digne d’Isabelle et moi. Je sais, toutes femmes qui passent près de moi, qui me plaisent, il me faut les corrompre. Pour tout te dire, j’aime pervertir. De ce côté, je suis comme ma Maîtresse, une vampe. - Mademoiselle, elle a mal, non ? Je couche Marion près d’Isabelle, le combiné du téléphone près de sa bouche. En ...