1. Isabelle, le temps d'un trimestre. I


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Lesbienne Mature,

    ... maintenant à pieds plats sur les coussins de cuir du sofa, accroupie, se cramponnant de ses deux mains au dossier. En même temps, Muriel parvenait à passer une jambe, puis l’autre, sur l’assise du meuble et à s’y agenouiller mais, trop instable, elle manqua de s’affaisser au sol et se rattrapa in extremis en posant ses deux mains sur le plancher. Isabelle accroupie sur le canapé, face au mur, cramponnée au dossier, Muriel agenouillée dos à elle, mains posées au sol, toutes deux démentes déchaînèrent dès lors leur pilonnages réciproques, leurs fesses se heurtant avec une puissance croissante cependant que le jouet d’amour s’enfonçait de plus en plus profondément en elles, au point de disparaitre totalement à l’apogée de leurs rapprochements. Et Muriel céda la première. Glissant sur toute la longueur de sa moitié de gode, s’en libérant presque à chaque fois pour encore et encore s’y empaler entièrement, elle s’offrit à un long orgasme, trahi par ses gémissements graves, mélodieux, qui bouleversèrent Isabelle. Enfin libérée Muriel mit fin immédiatement à sa pénétration. Mais, soucieuse du plaisir de son amante, c’est sans tarder qu’elle vînt de ses deux mains activer fougueusement l’engin resté fiché dans la chatte d’Isabelle qui, égarée, submergée, ballottée comme une poupée de chiffon criant son insupportable jouissance, finit par éclater en sanglots à l’instant où, furieuse, Muriel lui arrachait littéralement le sex-toy désormais brûlant et le balançait en travers de la pièce. Alors vint la délivrance d’Isabelle, en gouttelettes crépitantes sur le cuir du sofa, pareilles à une averse d’été, et en larmes sur ses joues que Muriel recouvrit de baisers, tout comme elle aurait réconforté une jeune épousée.Puis elle repartit par le train de dix heures.
«12...5678»