Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (8)
Datte: 12/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Les demoiselles, au contraire des garçons, étaient soumises à d’incessantes séances de masturbation forcée utilisant différents instruments vibrants et pénétrants dans tous les orifices. De plus, elles étaient les poupées sexuelles des religieuses qui préféraient, pour quelques-unes, les personnes du même genre, et qui ne se gênaient pas pour les caresser dès qu’elles en avaient envie, se délectant de la douceur de leur peau. L’une des filles, Barbara, croisa le regard de Markus. Elle avait de grands yeux de biche et lui sembla douce et fragile ; il se demanda comment elle pouvait supporter un tel endroit. Il entreprit de l’approcher, bien que sachant que cette entreprise était fort dangereuse, les liaisons entre les pénitents étant réprimées avec la dernière férocité. Dans le cursus de l’institution, les détenues étaient spécialement entraînées à exciter leur cruauté sur les garçons auxquels on leur apprenait à faire subir différentes avanies. Après le cours de torture présentant les différentes techniques de supplice, d’un regard, les deux tourtereaux convinrent de se mettre ensemble pour les travaux pratiques. Ainsi Markus se laissa joyeusement attacher sur le fauteuil par la jolie Barbara, sous le regard suspicieux de la religieuse qui encadrait la séance. Il fallait donner le change, aussi la fille fut particulièrement appliquée dans le maniement de la roulette à pointe sur la plante des pieds, plus encore avec la cire brûlante qui s’écoulait de la bougie sur le gland ...
... pourpre, au-dessus de la verge dressée. Pour le chatouillement, ce fit pire encore, car Barbara devina les zones les plus sensibles et Markus dut subir cela jusqu’à l’épuisement. Par contre, la sodomie finale, avec un grand gode-ceinture et sans aucune lubrification préalable ce ne fut qu’une formalité pour le garçon habitué depuis quelques jours à avoir la rosette transpercée par des bâtons de fort diamètre et autres instruments barbares de toutes formes. Elle reçut de chaleureuses félicitations de la part de la professeure de torture, pour avoir particulièrement bien suivi les consignes et montré à cette occasion une cruauté exempte de toute retenue. En récompense, elle eut droit à une double ration de pain sec pour le lendemain matin - prélevée sur la part des autres, bien-sûr, afin d’exciter les rivalités. La nuit tombée, malgré tout ce qu’il venait de subir, Markus trouva la force de se lever afin de rejoindre discrètement la cellule de Barbara. Il avait en effet cette possibilité, car une religieuse compatissante lui avait confié une clé lui permettant d’aller et venir à sa guise. Sur la pointe des pieds, il progressa dans le couloir obscur, tourna lentement le pêne de la serrure de sa belle, en avança en direction du lit. Alors, la lumière s’alluma. Quelle ne fut pas la surprise de voir Barbara en train d’étreindre la mère supérieure, qui était nue autant que sa partenaire, les cuisses ouvertes sur la langue agile et aux tendres balayements de jeune fille ! Celle-ci, ...