Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (8)
Datte: 12/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... exclusivement lesbienne, s’était amusée, avec la complicité de la hiérarchie ecclésiale, à tendre un piège au pauvre Markus dont le cœur s’en trouva poignardé par la trahison. Ceci dans le seul but, bien-sûr, de le faire souffrir encore plus, cette fois-ci d’une manière sentimentale. Le fait qu’on lui confie une clé, qui lui fut aussitôt retirée, faisait partie du plan. Le garçon en fut profondément abattu, mais il se reprit, car décidément, il aimait plus que tout souffrir sous le joug féminin, et de toutes les manières imaginables. Dans ce domaine, il était servi au-delà de toute espérance, car après l’avoir méchamment soumis à mille tourments afin d’éprouver chaque partie de son corps avec application, la jeune fille perverse lui brisait impitoyablement le cœur, et ce d’une manière d’autant plus cuisante qu’elle était méticuleusement préméditée ! Le lendemain, au cours de la séance de travaux pratiques de torture, il fut de nouveau livré entre les mains frénétiques de Barbara, qui apprit comment boxer les testicules d’un garçon avec les poings et les orteils repliés. Ecartant largement les cuisses autant que ses liens, pour l’occasion inutiles, le lui permettaient, il se laissa faire avec complaisance, mettant tout son orgueil à ne se dérober aucunement aux coups qui pleuvaient sans répit sur ses boules viriles. Elle excella dans cet art, ce qui laissa son partenaire presque mort de douleur. Il fallut porter le garçon à l’infirmerie pour qu’il se repose. Se reposer ? Ce ...
... serait oublier un peu vite que le domaine de la terrible Doctoresse n’était pas, nous l’avons vu au chapitre 5, de tout repos… iqfieetm Ces événements eurent lieu la veille du jour de l’épreuve finale. Dans cette optique, ce soir-là, il était prévu une étape importante dans la préparation des jeunes : l’épilation. Celle-ci se devait d’être intégrale, pour les garçons comme pour les filles. Le petit sourire narquois des religieuses les plus expérimentées à l’évocation de ce moment laisser présager du pire. Les jeunes pénitents furent solidement liés sur le dos sur des tables placées parallèlement les unes aux autres. Débarrassés de leurs cages péniennes et autres accessoires de chasteté, ils étaient parfaitement immobilisés, non seulement par poignets et chevilles, mais aussi au niveau des bras, des cuisses, du cou et de la tête par des sangles bien serrées. Les esthéticiennes se présentèrent avec leurs bandes de cire qu’elles appliquèrent sur toute peau portant le moindre poil, puis arrachèrent sans aucun ménagement, recommençant jusqu’à disparition complète de la moindre pilosité. Bras, jambes, aisselles, torse et bien-sûr pubis : aucune zone n’était négligée. Puis on retournait les pauvres soumis afin de s’attaquer aux parties arrière, notamment la zone située entre les fesses. Tout autour de lui, Markus entendait des hurlements de douleur. Les garçons, ayant plus à désherber, étaient naturellement les plus éprouvés, et à les entendre, on aurait dit qu’on les éviscérait ...