Soeur Gertrude
Datte: 12/05/2018,
Catégories:
f,
religion,
école,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Je suis religieuse dans un ordre enseignant et, si j’ai rejoint la religion ce n’est certes pas comme beaucoup d’autres en suite à une désillusion amoureuse, à un excès de timidité ou pour fuir le monde. Jusqu’à mes 22 ans, j’ai eu ce qu’on peut appeler une vie normale, parents aisés et présents, scolarité raisonnable, vie sentimentale calme et sans excès mais régulière, milieu catholique. Somme toute, une vie de jeune fille de bonne famille, vivant pleinement dans son cocon. Sur le plan amoureux, j’avais eu quelques flirts assez poussés et un amant de mon âge qui avait éveillé mes sens mais qui, tout aussi débutant et inexpérimenté que moi n’était pas parvenu à faire de moi une accro du sexe. Oui, aussi, à côté de cela, des plaisirs solitaires assez furtifs et irréguliers, au gré d’une douche un peu longue, d’une lecture un peu osée. Je crois que je vivais comme des quantités de filles de mon âge. Etudes terminées je me destinais à l’enseignement des math, biologie et sciences nat. Quelques stages m’avaient bien convaincus que c’était cette profession là qui me conviendrait. C’est évidemment vers l’enseignement libre que je me suis tournée et j’ai rapidement été engagée à l’Ecole des Sœurs de la rédemption, dont les locaux étaient assez proches du domicile de mes parents, où je vivais encore. Il n’y avait aucune contrainte pour assister aux offices religieux mais, comme enseignante, je me faisais un point d’honneur à être présente. Cela ne me déplaisait d’ailleurs pas car ...
... j’aimais soit la solennité des offices chantés soit l’intimité et le recueillement des messes basses du matin. J’étais très pris par ma profession et je n’avais, aller savoir pourquoi, aucune envie de sorte en boite, de vacances naturistes, de copains où autres choses qui me semblaient incongrues. Par contre, je m’entendais très bien avec les sœurs de la communauté dont j’admirais la joie de vivre et le bonheur. Après 10 ans ainsi passés sans histoire, j’ai été appelé chez la sœur supérieure qui était dans son vaste bureau qui sentait l’encaustique, avec une autre religieuse. Elle me dit : Gertrude, je te présente mère de la Croix qui est supérieure de notre ordre pour le Sud de la France et le nord de l’Afrique. Elle cherche une enseignante douée et dévouée pour une place à responsabilité dans une importante école située près de Montpellier. Elle et moi avons pensé à toi. Bien sur, comme nous sommes très contente de toi ici, c’est de toi seul que dépend le choix. Sur place tu seras tout à fait libre mais, si tu le veux, tu pourras habiter au couvent sans aucune contrainte liturgique ou bien au dehors à ta guise. En plus de l’enseignement, tu seconderas mère de la Croix dans sa fonction de préfète des études. Réfléchis et donne nous ta réponse. Comme j’étais libre de toute attache, ma réponse fut affirmativement rapide, sous réserve de l’accord de mes parents. Ceux-ci, un peu tristes de me voir quitter le toit familial, ont compris que mon choix était fait. Et me voilà partie à ...