Soeur Gertrude
Datte: 12/05/2018,
Catégories:
f,
religion,
école,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
... Montpellier où, tout de suite, j’ai été adoptée par la communauté locale des sœurs. J’étais habillée autrement qu’elles mais sinon je partageais leur vie très bien adaptée aux heures de prières et de recueillement, aux repas en commun et à l’enseignement. C’est ainsi que tout doucement, presque inconsciemment, j’ai basculé du civil vers le religieux et que je me suis demandée pourquoi, finalement, je ne les rejoindrais pas. Mon confesseur m’avait mis en garde contre trop de précipitation et avait scrupuleusement attiré mon attention sur les contraintes générées par mon choix, dont entre autre le vœu de chasteté. Finalement j’ai sauté le pas sans grandes hésitations et après mon noviciat, je suis devenue Sœur Gertrude de la Rédemption. J’ai été très rapidement envoyée comme inspectrice itinérante des écoles de l’ordre situées en Afrique du nord où je passais le trois quart de l’année. Les premiers mois j’ai su résister sans problème à toute envie de plaisir solitaire. Cependant, lors de conversations ouvertes avec d’autres sœurs, j’ai vite compris qu’elles aussi se laissaient aller à se caresser seule. Dans notre ordre, les cas de lesbianisme étaient cependant rares. Un soir, à la bibliothèque, je cherchais un bouquin et j’étais debout derrière une chaise à dossier bas, à deux montants surmonté s’un gland de chêne stylisé. Un des deux montants se trouvait à hauteur de mon pubis et lorsque je me suis mise sur la pointe des pieds pour atteindre le livre, ce montant surmonté d’un ...
... gland décoratif m’a prodigué comme une caresse. Sans autre motif que la curiosité, j’ai refais plusieurs fois ce mouvement de me hausser sur la pointe des pieds de manière à ressentir ce frottement à mon entre jambes. Une sensation que je croyais bien enfouie au fond de moi-même a refait surface et, horreur, mon sexe y prenait plaisir comme au temps des caresses des flirts de ma jeunesse. Non, je n’ai pas arrêté, non je n’ai pas songé à mon état religieux… oui, j’ai continué encore ce doux frottement et, bien vite j’ai serré les cuisses dans un orgasme rapide, bref mais violent. Personne ne m’avait vu. Rentré dans ma chambrette, j’ai constaté que, comme dans le passé, ma jouissance avait provoqué une sécrétion abondante. Je n’ai pas osé en parler ni à mon confesseur ni à mes consoeurs et j’ai tenté d’éviter la bibliothèque. au moins pendant quelques jours. J’y étais cependant attiré comme par un aimant et finalement, pour me donner bonne conscience, je me suis dit que si cette chaise était là à ma portée c’est que le Seigneur voulait m’empêcher de commettre le péché avec mes doigts. Eh ! Oui, j’ai succombé encore et même, j’ai encore honte à l’avouer, un jour où j’étais seule dans la bibliothèque j’ai soulevé ma jupe de tissus épais pour mieux ressentir la caresse du montant et du gland de bois sur les légers tissus de ma culotte. Un soir, après être passée faire un petit pipi, je n’ai pas remis ma culotte et, sans tergiverser plus, j’ai eu ce gland de bois contre mes lèvres ...