1. Philippe, mon voisin impitoyable - Partie 5 (Fin)


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... ? lui hurlai-je sans pouvoir me contrôler. -Qu’est ce qu’il t’arrive ? me demanda t-il inquiet. -Je t’expliquerai plus tard, il faut que je vois ton père ! Avant qu’il n’ai eu le temps de se retourner, Philippe surgit derrière lui. -Je m’en occupe, lança t-il à Lucas avant de sortir et de fermer la porte derrière lui. -T’es qu’une merde Philippe ! lui dis-je écoeurée. -Je devais trouver un moyen pour qu’il la boucle…chuchota t-il. -Et donc tu m’as prise pour une pute ? -Qu’est ce que ça change pour toi ? C’est pas comme si tu n’avais pas déjà l’habitude de t’envoyer en l’air avec tout le monde… Il avait à peine fini sa phrase que ma main avait atterri dans sa figure. Au même moment, Lucas qui avait sûrement dû nous espionner par l’oeilleton, rouvrit là porte, choqué. -Salaud ! lançai-je à Philippe les dents serrées. C’est terminé ! Puis je rentrai chez moi, furieuse. Le lendemain, alors que j’étais encore dans mon lit, ma mère débarqua dans ma chambre en trombe. -Ma chérie, réveille-toi. -Qu’est-ce qu’il y’a ? demandai-je à moitié endormie. -Philippe est là, il a besoin de quelque chose dans les affaires de ton père, mais moi je dois y aller et ton père est déjà parti. Tu peux t’en occuper s’il te plait ? Je suis vraiment en retard… Puis, avant que je n’eus le temps de répliquer, elle m’embrassa sur le front puis s’en alla, me laissant seule avec Philippe. Je savais bien pourquoi il était là et ce n’était pas pour nous emprunter quelque chose. J’étais prise au piège. Face ...
    ... contre mur, le pyjama aux chevilles et incapable de me libérer de son emprise, Philippe me labourait sauvagement la chatte. Ses coups de reins étaient tellement violants que je peinais à tenir sur mes jambes. -…c’est moi qui décide…quand c’est terminé…entre nous…petite pute…! lâcha t-il entre plusieurs va-et-vient. Je me contentai de gémir, malgré moi, parce que même s’il m’avait prise de force contre le mur de ma chambre, comme la dernière des catins, mon corps, lui, ne voulait pas qu’il s’arrête. Après m’avoir pilonné pendant de longues minutes, il se retira de ma chatte pour venir frotter sa queue contre mon anus. Avant que je n’eus le temps d’essayer de me libérer à nouveau, il m’écrasa encore plus contre le mur. Il me plaqua ensuite une main sur la bouche puis avec la même violence que tout à l’heure, il essaya de s’introduire dans mon cul et après plusieurs tentatives, il réussi. Mes hurlements étouffés résonnèrent dans l’appartement, se mêlant à sa respiration saccadée et ses grognements de plaisir. -Salope…petite salope…t’aimes ça, hein ! Mon corps ne m’appartenait plus, j’étais totalement soumise à ses volontés. Il me défonça le cul ainsi pendant ce qui me sembla être une éternité, tout en me balançant des mots crus, puis il retourna dans ma chatte un instant avant de m’enculer à nouveau. Il posa ensuite sa main sur ma hanche et m’obligea à me cambrer le plus possible, ce qui lui permis de me pénétrer encore plus profondément et plus sauvagement. Je ne savais plus si je ...
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