Philippe, mon voisin impitoyable - Partie 5 (Fin)
Datte: 12/05/2018,
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Dans la zone rouge,
... poussa enfin. Je posai ma main sur la poignée de la porte et je m’apprêtai à ouvrir. -Sache juste une chose ma grande, me dit-il d’un air amusé, si tu pars, rien ne m’empêchera de révéler ton petit secret. Je sais où tu habites et je suis certain que tu n’aimerais pas que tes parents apprennent que leur petite fille chérie se tape leur voisin et ami marié de 50 ans depuis des mois, dès qu’ils ont le dos tourné… Mon sang se glaça. Et moi qui pensais que la situation ne pouvait pas s’empirer, j’avais tord. L’idée même que mes parents sachent que je couchais avec un homme marié qui avait l’âge d’être mon père suffisait à m’effrayer, je ne l’aurais pas supporté. Je ne savais plus quoi faire, je n’arrivais plus à réfléchir. Comme je n’étais toujours pas parti, Richard se glissa derrière moi et me plaqua contre le mur. Résignée, je me laissai faire. Lentement, il passa ses mains sous ma robe en me caressant les cuisses du bout des doigts, attrapa les ficelles de mon string puis violemment, tira dessus et elles cédèrent. Je pouvais entendre sa respiration s’accélérer derrière moi. Il se pencha sur moi et m’embrassa langoureusement le cou. Il posa ensuite sa main sur mon entrejambe et me doigta. Je ne voulais pas que cet homme me fasse ressentir ces choses là, mais c’était plus fort que moi et je commençai à mouiller. Il glissa ensuite sa main libre dans mon décolleté et me caressa les seins. Soudain, il m’agrippa par les cheveux puis à nouveau, il me poussa violemment sur le lit. ...
... Je tombai sur le ventre. Même si je ne pouvais pas le voir, je sentis le lit s’enfoncer sous son poids puis je l’entendis défaire sa braguette. Il s’allongea ensuite sur moi, écarta mes jambes, puis d’un mouvement brusque, il me pénétra. Je ne pu retenir mes cris. J’avais la sensation de me faire écarteler tant sa queue était large, peut-être même plus large que celle de Philippe. -T’es très étroite, me murmura t-il à l’oreille, c’est parfait. Il dut s’y prendre à plusieurs reprise avant de me remplir complètement. Lui aussi m’assenait de coups de rein secs et violents, à croire que les hommes de leur âge ne prenaient du plaisir que de cette manière là. Après quelques allée-et-venues, ma chatte commença à s’habituer à cette présence inopportune, puis le plaisir se mêla à la douleur. Mon corps était à la merci de cet homme abrupt, qui me faisait chanter, mais inexplicablement, je ne voulais pas qu’il s’arrête. J’aimais ça. Je ne tardai pas à jouir, le plus silencieusement possible et quelque seconde plus tard, Richard éjacula bruyamment dans ma chatte endolori. En retournant chez moi une heure plus tard, je repensai à ce que je venais de faire. Je fus envahis par un mélange de honte et de colère. J’avais accepté d’être la chose de cet homme, je ne me reconnaissais plus. Lorsque j’arrivai devant chez moi, je craquai. A cette heure-ci, mes parents n’étaient probablement pas encore rentrés. Sur un coup de tête, je sonnai chez Philippe mais c’est Lucas qui m’ouvrit. -OÙ ES TON PÈRE ...