La Baronne et le plombier
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Cette aventure m’est arrivée il y a de ça plusieurs années, mais aujourd’hui, trente ans plus tard, j’en garde encore un souvenir ému. J’aimerais vous la narrer afin de la revivre encore une fois et, peut-être, y retrouver mes émois d’antan. A cette époque, je venais de fêter mon vingt-deuxième anniversaire et, malgré quelques liaisons amoureuses vite terminées, je n’étais pas un foudre de guerre en ce qui concernait le sexe : en fait je n’en connaissais pas vraiment grand-chose, comme j’allais m’en rendre compte ce jour-là, et découvrir une nouvelle face de la sexualité féminine. Depuis un an j’avais monté mon entreprise de dépannage rapide en plomberie : entreprise qui ne marchait pas trop mal. Ce jour-là donc, un coup de téléphone d’une femme à la voix angoissée m’appela d’urgence à son secours et me propulsa par les rues de la ville… Equipé de mon nécessaire pour la réparation d’une fuite d’eau, je me retrouvai très vite devant la porte d’entrée d’une superbe résidence bourgeoise située en plein centre ville. Sur une plaque de cuivre ouvragée plusieurs noms se suivaient. Je repérai assez vite celui de ma cliente : Madame Antoinette de Saint Simon. Une noble, pensai-je, quelque peu intimidé, en me présentant à l’interphone. Comment cette descendance de la noblesse française allait-elle accueillir un simple plombier issu de la classe ouvrière ? Lorsqu’une voix chaude et agréable m’invita à monter au troisième étage je me sentis légèrement rassuré. Curieux de mettre un ...
... visage sur cette voix pleine de charme qui n’avait rien de hautain, comme je l’avais craint, j’empruntai l’ascenseur qui me monta rapidement à l’étage désiré. Là, à peine sorti de la cabine, avant même que j’essaye de me diriger vers l’une des trois portes palières, l’une d’elles s’entrebâilla, m’invitant à avancer dans sa direction. Je m’approchai, ma mallette de dépannage à la main, désireux de voir à quoi pouvait ressembler cette dame de haut lignage dont la voix m’avait si chaleureusement accueilli à l’interphone. La porte s’ouvrit entièrement sur une silhouette vêtue d’un peignoir en soie de couleur parme, orné de diverses fleurs et retenu à la taille par une large ceinture, de soie également. La femme qui me souriait chaleureusement avait certainement dépassé la cinquantaine, elle devait même être plus près des soixante que des cinquante. Ses cheveux bruns noués en un chignon parfait qui s’ornaient de quelques fils gris et les minuscules rides qui sillonnaient son front, comme celles qui se formaient à la jointure de ses lèvres lorsqu’elle souriait, l’attestait sûrement. Mais son visage rond aux joues pleines et dodues lui donnait un air poupon qui la rajeunissait. Derrière des lunettes aux larges branches, ses yeux bleus lumineux brillaient d’un éclat malicieux, prouvant chez elle une joie de vivre et une certaine jeunesse d’esprit. Grande et légèrement enveloppée, sans être vraiment grosse, la femme qui me faisait face avait gardé un charme certain. Les généreuses ...