La Baronne et le plombier
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... laquelle la femme l’avait prononcée, je jetai un coup d’œil interrogatif en direction de ma déconcertante cliente. Cette dernière s’était commodément assise sur le bidet qui faisait face au lavabo sous lequel j’étais couché, les jambes de chaque côté de la cuvette de faïence, inconsciente que du fait de sa position son peignoir s’était largement écarté de chaque côté de ses genoux ronds. Vu ma position allongée sur le dos j’eus alors une vision panoramique sur la naissance de deux cuisses blanches et charnues, sillonnées par quelques fines rayures bleutées, mais qui me parurent extrêmement affriolantes au regard de l’âge de leur propriétaire. Etrangement troublé par ce tableau charnel, je m’empressai de me concentrer sur mon travail, alors que la femme continuait. — C’est quand même agréable d’avoir un homme à la maison !… Etes-vous marié ?— Non pas encore…— Moi, je l’ai été trois fois… mon troisième mari était même descendant d’un Baron du second Empire… Et aujourd’hui je me retrouve seule… Vous ne pouvez-vous imaginer combien la solitude est dure à vivre… Les soirées surtout sont longues… et même les nuits… Je demeurais ébahi. Que cachaient les assertions que me distillait la quinquagénaire ? — Vous devriez trouver un… compagnon, tentai-je de répondre, essayant d’entrer dans le jeu de la femme, curieux de savoir jusqu’où celle-ci oserait aller dans ses confidences intimes.— J’y ai pensé, mais à mon âge qui voulez-vous qui veuille de moi… Si je dois prendre pour compagnon ...
... un homme plus âgé que moi, il va falloir que je supporte ses grimaces toute la journée et j’ai bien peur qu’il ne sache, le soir venu, me contenter… Madame la Baronne s’exprimait sans gêne ni pudeur et, à l’écouter me parler de ses aspirations sexuelles, tout en me concentrant sur mon boulot, j’éprouvais un amusement certain. Qu’une femme de cet âge puisse encore éprouver des désirs sexuels me surprenait grandement. Et m’imaginer cette quinquagénaire frustrée sexuellement, obligée peut-être de se caresser, de se branler, seule le soir dans son lit, telle une adolescente perturbée, fit naître en moi un surprenant désir. — Je dois vous choquer, continua la femme… Quel âge avez-vous ?— Vingt-deux ans madame.— Ah ! Où sont mes vingt ans !… Je suis certaine que vous vous imaginez qu’à mon âge on n’a plus de désirs sexuels… Eh bien détrompez-vous… C’est ce que je pensais moi aussi dans ma jeunesse mais aujourd’hui, à cinquante cinq ans, je peux vous avouer que j’éprouve encore ces envies… surtout le soir… et c’est ce qui est le plus dur à supporter dans la solitude.— Et comment calmez-vous alors ces… besoins ? questionnai-je, éprouvant un plaisir pervers à pousser la quinquagénaire à des confidences plus intimes.— Eh bien, ce n’est pas à vous que j’apprendrais qu’il existe maintenant des… ustensiles plutôt bien réussis pour femmes seules… en plus de certains légumes… Mais, croyez-moi, rien ne remplacera jamais un véritable sexe masculin… Le désir que j’avais commencé à ressentir ...