La Baronne et le plombier
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... petites amies que j’avais eues ne m’avaient caressé de la sorte. Ces attouchements légers et délicats n’en demeuraient pas moins fort sensuels et réussissaient à mettre mes sens à rude épreuve, déclenchant d’incontrôlables frémissements dans mon membre et mon bas-ventre. Grâce à ses différents effleurements savamment pimentés, la sagace quinquagénaire réussit à accentuer le désir qui m’habitait, au point que j’éprouvai le besoin urgent de bénéficier d’une caresse plus sensuelle, plus perverse peut-être. Je ne pouvais plus me contenter de ces câlineries terriblement affolantes que me prodiguait ma subtile partenaire. Lui saisissant la tête je l’attirai en direction de mon bas-ventre : — Suce-moi ! Lui commandai-je. Nullement choquée par ma demande particulièrement salace, Madame la Baronne me laissa lui diriger le visage jusqu’à mon sexe orgueilleusement dressé. Avec un petit gloussement de ravissement elle avala mon gland volumineux d’une bouche gourmande, tout en refermant sa main autour de ma queue frémissante. Alors commença pour moi une fellation d’une extrême lascivité. Je me trouvais en présence d’une véritable experte dans l’art de sucer un homme. Mettant certainement tout son savoir érotique acquis au cours de ses nombreuses années de pratique, la quinquagénaire m’amena avec une habileté diabolique, au paroxysme du plaisir. Avec un art subtil, elle faisait coulisser ses lèvres épaisses le long de la partie supérieure de ma verge raidie, de façon à n’aspirer dans sa ...
... bouche moite que mon gland congestionné. Pareille à une gamine gourmande, la délurée Baronne suçait l’extrémité de ma verge, comme elle l’aurait fait d’un berlingot fourré, insistant particulièrement sur le filet ultra sensible de mon bourgeon dilaté. De temps à autre, elle cessait sa fellation pour me lécher l’extrémité du gland d’une langue habile, sinon espiègle. En amante aguerrie aux jeux de l’amour, Antoinette savait deviner, aux convulsions perceptibles qui agitaient mon membre, le moment critique où approchant de la béatitude je risquais de me libérer de ma semence. Aussitôt elle stoppait alors ses affolantes caresses et refermait farouchement ses doigts autour de ma verge prête à exploser, la pressant, l’étranglant, afin de stopper l’éjaculation annoncée. — C’est bon ? Tu aimes ? me demanda-t-elle dans un sourire complice.— C’est divin, tu es véritablement une experte dans l’art de la pipe ! Jamais je n’ai été pompé de la sorte…— C’est vrai ? Je n’ai pas trop perdu… la main ? Il y a bien longtemps que je n’avais eu un tel morceau dans la bouche… Décidément, Madame la Baronne se refusait à prononcer, même dans ces moments-là, des mots étrangers à son vocabulaire recherché. Tout en me fixant d’un regard brillant de lubricité, elle avait desserré sa pression autour de mon membre momentanément calmé. Telle une dévote en prière, elle maintenait ma verge entre ses deux paumes réunies en un geste de piété. Insensiblement, comme par inadvertance, tout en sachant perfidement ce ...