La Baronne et le plombier
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... l’un contre l’autre, tout en prenant soin de bien me montrer ses tétons fièrement érigés au centre de leurs aréoles boursouflées. — Comme ça, me murmura-t-elle ?— Oui ! .. Continue ! Pince-toi les bouts ! …— Humm ! Tout en fixant, médusé, les doigts féminins qui trituraient sensuellement les deux bourgeons de chair fièrement érigés, j’avais distraitement empoigné ma verge tendue et d’un mouvement machinal de la main je me branlais lentement. Nous restâmes quelques minutes ainsi face à face à nous observer, prenant un même plaisir à épier les gestes et les émois de l’autre. Cependant peu à peu, je remarquai un changement dans l’expression de ma complice. Ses traits semblèrent se figer, sa bouche s’entrouvrit sur un souffle plus prononcé, plus précipité, son regard se fixa plus particulièrement sur les mouvements de ma main le long de ma verge tendue dans sa direction. Une étrange lueur accentua l’éclat de ses yeux derrière le verre de ses lunettes. La sensuelle Baronne semblait prendre un extraordinaire plaisir à me voir me masturber ! — J’ai l’impression que tu aimes voir un homme se branler, lui lançai-je. Ça à l’air de drôlement te plaire ce que je fais !— Oh oui ! marmonna Antoinette. Tu ne peux savoir combien ça m’excite ! …— Si, je m’en rends compte… comment ça ce fait ? Et pour affoler davantage la quinquagénaire dont le visage avait pris une teinte cramoisie, et la pousser aux confidences, j’accélérai les mouvements de va-et-vient de ma main le long de mon membre ...
... viril. Le regard exalté, fixant avec une convoitise gourmande mon gland congestionné, qui suivant le mouvement rythmé de ma main, apparaissait et disparaissait tour à tour, Antoinette commença d’une voix étrangement enrouée : — Il faut te dire qu’à l’époque mes parents habitaient une immense maison bourgeoise et que nous avions de nombreux domestiques… Or un jour, je devais avoir seize ans, j’ai surpris le fils de notre gouvernante qui s’amusait à soulever la jupe de ma sœur, qui se défendait comme elle pouvait…— Quel âge avait ta sœur ?— À cette époque, comme elle est ma cadette de quatre ans, elle devait avoir douze ans…— Et ce garçon ?— Oh lui, il était plus vieux que moi, il devait avoir dans les dix-sept ans… Je suppose qu’il n’aurait jamais osé quoi que ce soit avec moi.— Et tu le regrettes, ironisai-je.— Que tu es bête… Non, mais en tant que fils de domestique, il ne pouvait se permettre n’importe quoi, et il le savait.— Vu l’âge de ta sœur, c’était plus facile ?— Certainement, tandis qu’avec moi, il devait se montrer plus craintif… C’est peut-être à cause de ça que ce jour là je me suis conduite comme ça…— Raconte !— Oui, mais tu me promets que lorsque tu vas jouir, tu… déchargeras … sur mes seins ?— Je te le promets, acquiesçai-je, alors qu’en fait j’avais songé lui fourrer ma queue dans la bouche au moment opportun… Je te promets de t’asperger les nichons avec mon sperme…— Oh oui… Bon je reprends… J’ai réussi sans trop de mal à délivrer ma sœur, qui a filé tout de suite, ...