1. L'histoire de Marie Christine (3)


    Datte: 14/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... choisi avec mon maître un truc style « Coca Cola » avec le S qui finit sous les trois 6. On a décidé de faire graver le motif sur mon pubis ; en assez gros, et sur mon sein gauche en plus petit. Il faudra 2 ou 3 séances. 18 septembre – 20 h les tatouages sont terminés, c’est très propre. Le gars m’a affirmé que la largeur du lettrage empêcherait le dessin de « baver » en vieillissant. Je me dépêche de rentre chez moi. Mon maître a déjà rempli la demande de certificat de deuxième classe. Il ne manque plus que les photos des tatouages pour l’envoyer. 20 septembre – 19 h La réponse, favorable, arrive par mail cette fois. Le fait que je sois certifiée nous fait accéder désormais directement à la messagerie privée du site. Suit la liste des épreuves à réaliser et à faire certifier. A partir de la deuxième catégorie, mon maître ne peut plus me faire passer les épreuves. Il faut avoir recours à un autre dominant. Pour moi a été désigné M 437 . Suivent ses coordonnées. Mon maître lui envoie immédiatement un message. 22 septembre – 8 heures M 437 a répondu. Il est prêt à assurer ma certification le 25. Il donne à mon maître des indications sur ses souhaits, notamment concernant ma tenue. Pendant cette journée, je serai sa soumise et passerai complètement sous son contrôle. 25 septembre – 9 heures. M 437 vient me chercher à un abribus. Il s’est mis d’accord avec mon Maître pour m’y déposer à nouveau le soir à 22h. L’abribus en question est situé au fin fond d’un cité de banlieue, ...
    ... plutôt mal famé. On y parvient grâce au GPS pile à l’heure. Mon maître me fait descendre et repart aussitôt. Il y a là trois jeunes qui attendent un hypothétique bus , en fumant un joint. Ils me matent avec attention. Il faut dire que maître 437 a exigée que je sois vêtue uniquement d’un trenchcoat long d’où dépassent deux escarpins, haut de 10 centimètres. Du coup j’ai l’air plutôt grande, mais par contre j’ai du mal à marcher. Je fais mine de ne pas les remarquer et m’assied sur le banc de plastique aussi loin que je peux d’eux. Ils sont aussi intrigués que si un martien venait d’atterrir dans les parages. Ce qui les intrigue le plus c’est mon nouveau collier de cuir auquel est accroché un médaillon d’argent percé du signe S 666. Je commence à trouver le temps long. Une fourgonnette s’arrête finalement devant l’arrêt de bus. Le type en descend, me reconnaît à ma tenue et me fait signe de le suivre. Je l’observe rapidement, soulagée de quitter les lieux. La soixantaine, gras , dégarni, il a tout d’un paysan, la tenue et l’allure. Je me dirige vers la porte droite du véhicule mais il ouvre le vantail arrière et me fait rentrer dans ce qui se trouve être une bétaillère il monte avec moi et attache l’anneau de mon collier à une laisse fixée au bas du plancher. C’est brinquebalée à quatre pattes que j’effectue le voyage jusqu’à sa ferme. Car effectivement M 437 est bien un paysan. 25 septembre – 10 heures L’endroit est assez isolé, résolument champêtre. M 437 ouvre la porte arrière ...
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