1. L'histoire de Marie Christine (3)


    Datte: 14/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... et me détache. Il tient une laisse à la main qu’il s’empresse de passer à mon collier. Nonchalamment il me tire ainsi à travers la cour du bâtiment puis me fais entrer dans un réduit prés du corps principal et m’y enferme. iakissd C’est noir et sombre, vide. Je sens de laa paille sous mes chaussures à talons. 25 septembre – Midi La porte s’ouvre. M 437 est là avec une écuelle de soupe à la main qu’il me tend. Je mange le brouet tandis qu’il m’observe. Il m’indique que je dois toujours garder la tête baissée quand il est là. Quand j’ai fini, il prend ma laisse et m’entraîne à nouveau derrière lui. Cette fois ci nous débarquons dans la salle à manger de la ferme où quelques convives sont attablés. M 437 est visiblement satisfait de montrer sa nouvelle soumise à ses camarades. Il enlève ma cape et je me retrouve nue devant cette assemblée de sexagénaires. M 437 me présente à chacun, qui en profite pour tâter qui un sein, qui une fesse . On dirait des maquignons au foirail. Ils se permettent quelques allusions grasses sur mon anatomie. Ma poitrine récemment siliconée reçoit les jugements les plus favorables, enfin dans le registre vache laitière. M 437 m’indique la cuisine. Je devais servir ces messieurs dans le plus simple appareil, toujours juchée sur mes talons hauts,forts peu pratiques pour se déplacer sur les dalles inégales. Dans la cuisine je découvre S 437 , occupée à préparer les agapes. C’est une paysanne dans les 45 ans environ. C’est en fait difficile de lui donner un ...
    ... âge tant elle est grosse. La fille me sourit et m’indique les plats d’un hochement de tête. Pour le moment elle est vêtue, mal certes mais vêtue. Je sers le repas en essayant de ne pas me tordre les chevilles. Je dois servir chacun, en nourriture comme en vin et m’assurer qu’ils ne manquent de rien. Pourtant à deux ou trois occasions j’oublie quelque chose. M 437, d’une grande claque sur les fesses, se charge chaque fois de me rappeler à mes devoirs. Ils boivent beaucoup et deviennent plus entreprenants, ne manquant pas une occasion de laisser traîner leurs pognes sur moi. 25 septembre – 15 heures Le repas se termine. M437 me fait débarrasser la grande table de ferme. Quand j’ai terminé il me fait monter à quatre pattes sur le plateau. Il passe derrière moi et fait glisser ses doigts boudinés contre mon cul et ma chatte. Immobile, je sens ses doigts me pénétrer successivement les deux orifices sans aucun soin. Il me tire par les chevilles vers le bord de la table et le bout de mes pieds reprennent alors contact avec le sol. Alors il stoppe sa traction et me prend devant les autres, les jambes ballantes le ventre collé à la table. Il sort son instrument de mon vagin et le fourre maintenant dans mon cul. C’est là qu’il va se répandre au bout de quelques coups de reins bien soutenus. Je sens son jus chaud qui coule entre mes cuisses. Il me laisse ainsi et retourne s’attabler avec ses convives. Le progrès ayant atteint la ruralité, j’ai eu le temps de noter que la plupart ont eu ...
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