1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°930)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... bâtisse. Elles sortirent ensemble, sans dire mot, comme si elles avaient l'une pour l'autre compris qu'il fallait y aller. Mais à peine à l'extérieur du véhicule, qu'un homme grand, d'un pas élancé, sorti du Château et s'avançait dans leur direction. Elles ne le distinguèrent pas tout de suite, celui-ci ayant une puissante lampe qui aveuglait en direction les deux soumises. Arrivé à un mètre d'elles, les femmes entendirent, d'une voix calme, linéaire, polie, ces quelques mots : - Bonsoir et bienvenues chez Monsieur le Marquis d'Evans, je suis Walter chargée de vous accueillir. Si vous voulez avoir la bonté de me suivre jusqu'à lui ... Marie qui conte la suite : Le long trajet qui nous mena, Mélanie et moi jusqu'au château passa comme en un rêve. Nous étions à la fois excitées et inquiètes de ce que nous réservait notre hôte. Nos maîtres avaient été fermes sur notre manière de nous conduire en sa présence et en celle de ses invités s'il y en avait. - Fais en sorte que je sois fier de toi, m'avait dit mon Maître, ne me déçoit pas ou il t'en cuira à ton retour ! Ne pas le décevoir ! En ce moment précis où mes talons aiguilles, que j'avais enfilés après avoir ôté mes mocassins juste avant de sortir de la voiture, s'enfonçaient dans les gravillons de l'allée, je ne repensais qu'à cela. Que nous réservait notre séjour dans ce château, que nous réservait Sir Evans ? Tout c'était décidé si vite que j'en avais la tête qui tournait encore. Sur le site du Château j'avais écris que mon ...
    ... fantasme était de rencontrer Sir Evans. Et nous étions là, face au majestueux perron, mon fantasme prenait vie au-delà de mes espérances. En plus de rencontrer Monsieur le Marquis, cela se faisait dans son château, ce que je n'aurai jamais imaginé possible. Je resserrai mon ample manteau sur moi. Un vent taquin se faufilait dessous et me donnait des frissons. Après ce long voyage dans le véhicule un peu surchauffé il fut cependant le bienvenu. Nous étions là toutes les deux, n'osant plus avancer. Mais pour rien au monde nous n’aurions reculé. Enfin nous étions là face à cette imposante demeure doucement emmitouflée dans un brouillard léger que la douce brise ne parvenait cependant pas à effacer. L'air des sous-bois me chatouilla les narines, il embaumait les champignons et la mousse. Mon haleine fit naître un petit nuage vaporeux quand, dans un soupir je pris la main de Mélanie, comme pour nous donner du courage ... Nous suivîmes Walter. Les battements de mon coeur résonnaient jusque dans ma tête qui me tourna un peu. Je senti la main de mon amie serrer la mienne. Je la regardai, elle avait tout autant peur que moi et en même temps je voyais briller dans ses yeux la petite étincelle de l’excitation : Nous allions enfin voir Monsieur le Marquis, enfin rencontrer Sir Evans. Nous montâmes d'un même pas les quelques marches qui nous séparaient encore du Marquis. Walter poussa la lourde porte qui n'émit qu'un son feutré en pivotant dans ses gonds. Je sentais la douce chaleur venant ...