1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°930)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de l'entrée m'envelopper au fur et à mesure de notre progression. Mes jambes tremblaient et avaient de la peine à me porter tant l'appréhension et l’excitation se disputaient mes sentiments. La dernière marche... la pénombre me surprit, puis mes yeux s’accoutumèrent... Et là, stupéfaction, éblouissement ! Le passé, l'ancienneté, l'histoire même de ce château nous accueilli, nous, femmes du XXI siècle. il nous prit doucement, nous enveloppant dés le seuil passé, dans un tourbillon enchanteur. Nous étions princesses au temps des rois ! Nos talons claquaient sur la mosaïque du sol. Sur un guéridon au pied élégamment sculpté, un bouquet de fleurs exotiques donnait à l'ambiance une note de couleur vive et nous envoutait d'un parfum capiteux. Après avoir refermé la grande porte, Walter s’effaça devant nous et poussa une nouvelle porte dissimulée derrière une tenture. Pourquoi nous faisait-il passé par une porte dérobée ? Pourquoi n'entrions nous pas dans le château par la grande porte ? N'étions-nous pas invitées ? N'étions-nous pas "princesses au temps des rois".... Non, nous étions simples soumises, comment avais-je pus croire que nous aurions d'autres droits que ceux des soumises. Je regardais Mélanie elle était tout aussi dépitée que moi mais, sans un mot, nous suivîmes le Majordome. Où nous conduisait-il, qu'y avait-il au bout de cette coursive baignée dans une pénombre maintenant inquiétante ? Cette fois ce fut moi qui serrai la main de mon amie que je n'avais pas lâchée. ...
    ... Devant nous Walter avançait vite, ne nous attendant pas. Nous dûmes presser le pas pour le rattraper et le laisser nous guider vers un séjour qui nous réservait bien des surprises à n'en pas douter. C'est le coeur léger, que je renvoyais à Mélanie un regard plein de malice qui parut lui redonner courage. Elle me sourit en retour. Après tout nous étions là parce que nous l'avions souhaité si fort que notre vœu se réalisait. Nous étions au château du Marquis, et nous le verrions bientôt. Enfin ! Walter nous conduisit au bas d'un escalier en colimaçon et nous dit : - je vous laisse là, montez jusqu'en haut, entrez dans la pièce ouverte, ôtez vos manteaux et attendez, quelqu'un viendra vous dire ce que vous devrez faire. - mais nos bagages ? - vous n'en n'aurez pas besoin pendant votre séjour ! Monsieur le Marquis pourvoira à tous vos besoins. - et nos vêtements ? - vous n'en aurez pas besoin non plus, d'ailleurs vous ne devrez porter que vos colliers, corsets et escarpins ! Et sur ce, avant même que nous ayons le temps de lui poser une autre question, il rebroussa chemin, nous laissant seules au bas de cet escalier. Alors prenant courage l'une à l'autre nous commençâmes à le gravir ... Marquis d’Evans qui conte la suite : L'attente dura une bonne dizaine de minutes, ce qui parut long dans cette haute pièce au plafond à la française, flanqué d'un lustre d'époque aux milles lampes, aux immenses fenêtres d'un bois habillé du plus beau vernis, aux rideaux luxueux qui laissaient ...