L'instit
Datte: 19/07/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
initfh,
f+prof,
... étaient symptômes d’une maladie grave, mais ils le reprendraient quand elle sortirait. Compte tenu de sa conduite irréprochable, il était facile à placer. Il s’est retrouvé chez les Martin. L’ambiance changeait totalement. Famille unie, avec deux enfants, William, 17 ans et Adeline 15 ans, jolie comme tout. Pour la première fois, il vivait avec des jeunes de son âge, surtout Adeline qu’il admirait beaucoup tant elle était jolie. Il était depuis un mois chez eux, quand on lui a annoncé une nouvelle terrible : Josette venait de mourir. Il est allé d’abord rendre visite à Jean-Pierre, a longuement pleuré sur son épaule. Aux obsèques, la famille lui a demandé de se joindre à eux. Cette manifestation d’amour l’a bouleversé. Malheureusement Jean-Pierre partait habiter chez son fils, au loin. Sa nouvelle famille a compris sa douleur et a fait tout le nécessaire pour lui faire oublier sa peine. Les parents, par leur tendresse, William, en lui parlant en homme. Mais sa plus grande consolation est venue d’Adeline. Elle l’a serré dans ses bras, l’a embrassé. Il a un peu oublié sa peine, mais ressenti un autre type de sentiment. Désormais, chaque fois qu’ils en avaient l’occasion et surtout quand personne ne pouvait les surprendre, ils s’enlaçaient, s’embrassaient. Puis un jour le baiser a changé. Leurs lèvres se sont rencontrées et, ils découvrirent le plaisir. Maintenant, leurs contacts prenaient une autre dimension. Bientôt, il osa toucher cette poitrine qu’il admirait tant. Elle ...
... n’a pas protesté. Et même pour l’encourager, elle oubliait le soutien-gorge. Ils se sont jurés un amour éternel, ils se marieraient, auraient des enfants. C’était le paradis. Un jour, dans la chambre de Michel, allongés, ils se caressaient. Quand soudain la porte s’est ouverte et le père les a surpris. Frayeur des deux jeunes gens. — Michel, on te demande au téléphone. Je crains que ce ne soit une mauvaise nouvelle. Tiens, réponds.— Merci Jean. Affolé par l’arrivée de Jean, Michel a pris le téléphone. C’était le fils de Jean-Pierre qui lui annonçait que son père était décédé, il n’avait pu supporter la mort de sa femme. On venait de l’enterrer le matin même. Ces deux événements ont déstabilisé Michel. Il a regagné la cuisine désirant s’expliquer avec Jean. Il lui a confirmé que c’était bien une mauvaise nouvelle, le décès de Jean-Pierre. Puis il est resté silencieux, craignant des reproches cinglants. Jean l’a invité à s’asseoir puis lui a dit doucement : — Je dois te dire quelque chose. Je comprends très bien le sentiment que vous éprouvez l’un pour l’autre. Je m’en doutais depuis quelques temps. Je vais demander à ce que tu sois transféré en foyer ou dans une autre famille. Ce n’est pas que je sois opposé à vos sentiments, mais vous êtes trop jeunes et compte tenu de votre cohabitation, on risquerait un accident. Je te demande d’oublier Adeline pendant quelques années. Allez, va le lui annoncer, puis on n’en parle plus. D’accord ?— Oh, oui d’accord, je comprends très bien ta ...