La Révélation de Sophie (1)
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
Divers,
... nouvelle avec une nouvelle petite claque, petite, staockk, sur le crâne, pour rabaisser un peu plus ce tas insignifiant. « Plus fort, Sophie ! Je n’entends rien ! — Non Monsieur. » — Allez prend le bol de glaçon et avance ! Dépêche-toi que l’on en finisse. » Le joli petit cul trottine devant lui. Elle se retourne de temps en temps, le regard craintif. « Allez avance. » Maintenant, Sophie est debout, nue à l’exception de sa petite culotte et des collants noirs qui jouent parfaitement leur rôle d’attributs aphrodisiaques, au milieu du salon, terrorisée. Par intermittence, elle jette des regards à la cravache qui sur la table attend son heure. Ignore-t-elle que le vibromasseur qui est juste à côté de la badine complète parfaitement le programme annoncé ? Phil, lui, anticipe la suite : que la soumission soit jouissance et non traumatisme. Donc, présentement, il va la rassurer. Un peu. Elle a perdu tous ses repères. Elle est à sa merci. Quelques centimètres à peine les séparent. Il hume l’odeur de femelle brune transpirante de peur, une exhalation piquante, la peau caramélisée est recouverte d’un léger voile, luisant, de sueur. Aux avants postes, les tétons sont comme les sémaphores d’un havre de jouissance à investir, à mettre en branle, et, sous le coton, le con et le cul rebondi n’ont jamais été aussi peu protégés. L’homme prend la carafe de menthe à l’eau en remplit un verre, l’approche de la bouche de sa proie. Elle va pour prendre le verre dans sa main, d’un regard il lui ...
... fait comprendre qu’elle doit garder les bras le long du corps. Pour affermir encore son emprise, il l’infantilise, lui donne à boire. Docile, les lèvres s’avancent, s’entrouvrent et reçoivent le liquide, elle a de si mignonnes quenottes, la souris déglutit, un peu de menthe coule de la commissure des lèvres, sur son menton. Il lui parle avec tendresse : « Chutt. Lààà. Tout doux. » Après quelques gorgées, il accorde une pause, fait preuve de patience et puis l’abreuve encore, penche progressivement le verre, l’adorable chose boit jusqu’à la dernière goutte. « Voilà c’est bien. Tu avais soif dis donc. » Elle mendie du regard d’autres paroles réconfortantes. Il approche ses doigts, caresse la joue gauche, la petite nichonne a un mouvement de recul, mais n’ose se dérober. La grosse patte velue de l’étalon apprivoise la chair virginale, les doigts remontent sur les tempes, s’insinuent dans le rideau fin de cheveux noirs, comme pour rétablir l’ordonnance de ce visage parfait, glissent délicatement des mèches rebelles derrière l’oreille. Et la voix toujours aussi tendre : « N’ai pas peur, Sophie. Je suis sévère, mais pas cruel. Tu as pour toi l’innocence et l’ignorance. Je ne te ferai pas trop mal. Mais accepte la punition. Dis-toi que c’est pour ton bien. C’est inéluctable. Je t’avais prévenu. Tu t’es entêtée. Maintenant tu assumes. Quoi que tu fasses, quoi que tu dises, tu vas recevoir ta correction. — Monsieur… Ne me faites pas mal. — C’est certes douloureux. Mais vraiment pas si ...